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Fondation des Etats-Unis

15 Boulevard Jourdan, Paris, France
Cultural Center

Description

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La Fondation des Etats-Unis est une résidence et un centre culturel située à la Cité international universitaire de Paris (en face du Parc Montsouris). La Fondation des Etats-Unis, basée à la Cité internationale universitaire de Paris (CiuP) face au Parc Montsouris, est une résidence étudiante et un centre culturel. La CiuP, érigée entre 1925 et 1969, est un joyaux architectural. Elle accueille des étudiants originaires de 130 pays différents, favorisant ainsi les échanges cultures et linguistiques. Ouverte en 1930, la Fondation des Etats-Unis compte 267 chambres, dont quelques ateliers d’artistes et studios de musiques attribués sur dossier.
Le programme culturel riche et varié de la Fondation est ouvert au public. Au programme : concerts, ateliers, conférences, expositions, films.
Le magnifique Grand Salon, la galerie et les salles de réunion peuvent également être loués pour des événements professionnels.

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"Symbiosis" (Symbiose) est une exposition personnelle de l’artiste américaine Taylor Smith, actuellement boursière Harriet Hale Woolley en résidence à la Fondation des Etats-Unis. Cette exposition présente des nouvelles œuvres de la même série de son exposition personnelle au Colegio de España en París en février (Végétal / Cérébral : du vivant à l’objet). Les vernissages de ces deux expositions sont organisées dans le cadre d'Art-Hop-Polis, le art hopping à la Cité internationale. En anglais, le mot "symbiosis" est utilisé dans plusieurs contextes. Dans un premier temps, en biologie il signifie « l’acte de vivre ensemble effectué par deux organismes dissimilaires ». En psychiatrie, il désigne « une relation entre deux personnes où chacune dépend de l’autre et reçoit du renfort, soit bénéfique, soit nuisible, de l’autre » (Cf. Webster’s dictionnaire). Enfin, dans la psychanalyse, il désigne plutôt la dépendance physique et émotionnelle d’un enfant à sa mère. A travers le médium de la peinture abstraite, Taylor interroge les possibles représentations visuelles illimitées de symbiose. A travers ses collaborations avec plusieurs biologistes de l’Institut de Biologie de l’École Normale Supérieure (Nora Assendorp, Patrick Torbey and Maria Joana Pinto), et des botanistes du Jardin des Plantes (Karim Benyoub et Bernard Noël), ainsi que le photographe américain des paysages aériens pollués J Henry Fair, Taylor s’interroge sur la notion de symbiose sur les plans biologique et relationnelle, ainsi que pour interroger des problématiques actuelles de l’anthropocentrisme et du développement durable. Pendant son master 2 en médiation culturelle à l’Ecole du Louvre (terminé l’an dernier), elle a passé deux ans à étudier les relations symbiotiques possibles entre le public et les œuvres d’art contemporain. Les compositions abstraites de cette exposition représentent une gamme de relations symbiotiques, entre matériaux et idées provenant à la fois de l’homme et de la nature. En manipulant des matériaux organiques, industriels et recyclés avec de la couleur, la composition et l’échelle, ces tableaux tentent de trouver et relever l’équilibre idéal pour une situation donnée, entre une sélection d’éléments « humains » et « naturels ». Ces éléments comprennent des peintures à bactéries de Taylor (créés avec des échantillons de la souche d’E coli kanamycine peints sur gélose), feuilles tropicales de la famille des aracées, photographies microscopiques des synapses humaines et cellules gliales, photographies aériennes des paysages pollués, ainsi que ses propres photographies aériennes et close-ups de la nature. La première étape dans son processus est de fusionner ces échantillons naturels (écorces, feuilles, roches…) et photographies pour créer des tirages cyanotype ou solarfast, imprimés directement sur la toile avec de la lumière naturelle UV. Ensuite, Taylor fabrique du papier recyclé avec des déchets, écorces et feuilles collectionnés. Elle fabrique également de la peinture naturelle avec des pigments organiques (tels les pigments japonais iwa enogu ou verre écrasé, et des pigments de la terre française et italienne), et de l’huile de lin. Elle fusionne ces peintures et papiers avec des monotypes et sérigraphies qu’elle crée, ainsi que des papiers de riz japonais et chinois traditionnels, tous peints et collés sur la première couche de cyanotype afin de créer la composition finale. L’acte de tisser des relations symbiotiques entre une variété de matériaux et d’images renvoie directement aux réflexions conceptuelles de Taylor sur la manière dont ces éléments contrastés peuvent coexister dans une seule composition, ou un seul monde. Elle s’inspire notamment des théories des scientifiques, experts du paysage, philosophes, sociologues, psychologues, et d’autres artistes y compris Augustin Berque, Philip Ball, Georges Didi-Huberman, Nathalie Heinich, Alfred Gell et Josef Albers. Retrouvez plus d'informations sur l'artiste : fr.feusa.org/symbiosis

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Dans le cadre de la Journée mondiale de la Femme, la FEU est très heureuse d'accueillir Wanjiru Kamuyu, qui présentera son spectacle de danse "Portraits in Red", suivi d'une discussion avec le public. "Portraits in red" questionne et explore l’idée d’un standard de beauté dominant en remettant en question l’image du corps. L’hégémonie de la définition européenne et américaine de la beauté et la diffusion à des fins mercantiles par l’industrie de la mode d’un standard de beauté homogénéisé à travers le monde sont les points de départ de ce travail. Etant originaire d’un foyer mixte américano-kenyan et ayant vécu dans trois continents (Afrique, Amérique du Nord et Europe), Wanjiru Kamuyu est fascinée par le rapport à la beauté de chaque société et les réactions face à la notion du corps. Avec "Portraits in red", elle a décidé de continuer à explorer cette idée en s’appuyant cette fois-ci sur l’expertise artistique de la chorégraphe-dramaturge Robyn Orlin. Sa fascination avec la notion et la définition de la beauté dans un contexte permanent d’objectification et d’exotification du corps humain, en particulier celui de la femme, a servi de point de départ à ses recherches pour cette œuvre. "Portraits in red" confronte des idées, des problématiques et des défis liés à la question du corps comme la domination, l’oppression, l’assimilation, l’objectification et l’exotification. Cette confrontation est engendrée par un besoin profond de s’adapter et de s’assimiler à un modèle de beauté occidental culturellement, racialement et socialement biaisé. "Portraits in red" est un récit universel, audacieux, courageux et intransigeant. Entrée libre sur réservation : bit.ly/2EpcXNS Retrouvez plus d'informations sur le spectacle et l'artiste ici : fr.feusa.org/portraits-in-red

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[Rappel] Le concert des musiciens de la CiuP c'est ce soir ! Venez assister aux multiples performances qu'ils vous proposent à partir de 20h. Pour plus d'informations : fr.feusa.org/concert-residents-2018/

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CONCERT | N'oubliez pas de noter dans votre agenda la date du prochain Rendez-vous Musical. Au programme de ce dimanche : Poulenc et Schumann ! Pour plus d'informations sur les musiciens : fr.feusa.org/rendez-vous-musical-37/

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CONCERT | Retrouvez les musiciens de la CiuP et leurs performances, diverses et variées, mardi 30 janvier à la FEU. Plus d'informations sur notre site : fr.feusa.org/concert-residents-2018/

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[Rappel] Le Tour du Monde de l'Impro c'est ce soir ! Rejoignez David Garel du Cours Florent pour mettre du soleil dans votre journée. Evénement réservé aux résidents de la CiuP. Plus d'informations : fr.feusa.org/atelier-impro-2018/

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Pour contrer un dimanche pluvieux et frileux, rien ne vaut un concert de musique classique. La FEU vous propose un Rendez-vous Musical avec Schumann, Bach et Debussy ...

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La Fondation a eu le plaisir d'accueillir Guy Livingston et Rayanne Dupuis qui ont présenté différentes compositions de William Bolcom jeudi 18 janvier.

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ATELIER | Venez vous essayer au théâtre d'impro avec David Garel du Cours Florent lundi prochain à 20h30. Réservé aux résidents de la CiuP. Pour plus d'informations : fr.feusa.org/atelier-impro-2018/

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Retour en images sur l'atelier de Krump animé par Julien Wrestler samedi 13 janvier à la FEU. Crédits photos : SLON

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[Rappel] Ne manquez pas ce jeudi à 19h30 le concert "The William Bolcom Song Project" de la soprano Rayanne Dupuis et du pianiste Guy Livingston, ancien de la FEU. Réservation gratuite : bit.ly/2AR4rbP Pour plus d'informations sur le programme et les musiciens : fr.feusa.org/livingston-dupuis/

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Progress in Work, ou la rencontre fortuite de trois jeunes artistes in the making. A travers une recherche perpétuelle de nouvelles formes, motifs, techniques, médias, inspirations, ils assouvissent leur besoin créatif tout en constituant peu à peu leur propre univers artistique. Laura, Marcel et Maximilien sont des résidents de la Fondation des Etats-Unis au parcours éclectique et avec trois univers très différents. Ils vous proposent de découvrir leur actualité, l’état de leur recherche d’une identité artistique. Les œuvres de Laura ont en commun un goût prononcé pour la narration, qu’on retrouve tant dans son utilisation du langage que dans l’image elle-même. Comme Maximilien, elle travaille avec des médias très diversifiés : les pastels, la peinture à l’huile, la maquette, l’image numérique, qui sont autant de moyens pour elle d’élaborer des histoires, et représenter le monde. Dans cette exposition, elle vous présente ses recherches récentes en peinture sur la représentation du corps humain, de nouvelles techniques, de nouveaux supports. Marcel s’est découvert un talent pour les arts plastiques très tardivement. Cela fait maintenant 3 ans, qu’il explore avec ses figurines d’argile l’univers chimérique des créatures fantastiques de notre enfance. Maximilien lui créé avec des médias étonnamment diversifiés : du papier mâché à la cire d’abeille en passant par la peinture à l’huile et le numérique, il a par ailleurs une pratique quotidienne de l’écriture, cultivée par ses études en histoire de l’art à l’Ecole du Louvre et d’anthropologie à l’EHESS. On retrouve dans ses œuvres, comme dans ses écrits, une curiosité éclectique, qui va de problématiques de philosophie à la nature, les animaux, l’histoire de l’art.… Retrouvez plus d'informations sur les artistes sur notre site internet : fr.feusa.org/progress-in-work Le vernissage aura lieu le mercredi 7 février à partir de 19h dans le cadre d’Art-Hop-Polis, le art hopping à la Cité. Programme à venir.

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