Le Dr Romain Abos est heureux de vous annoncer qu'après une formation étalée sur 3 ans, et suite à la réussite des épreuves écrites et orales, il est désormais titulaire du Diplôme d'Ecole d'Ophtalmologie d'Alfort. C'est donc avec plaisir qu'il vous recevra au Cabinet Vétérinaire de Fumal pour examiner et soigner les yeux de tous vos compagnons à 4 pattes.

LA VACCINATION DU LAPIN Il est recommandé de faire vacciner votre lapin contre deux maladies graves : la myxomatose et la maladie virale hémorragique (VHD ou RHD). LA MYXOMATOSE La myxomatose est une maladie mortelle causée par un virus très fréquente en France et présente toute l'année. La myxomatose→ Cause et mode de contamination La myxomatose est transmise par les insectes piqueurs (puces et moustiques). Elle peut également se transmettre directement lors d'un contact entre un lapin malade et un lapin en bonne santé. Tous les lapins de compagnie peuvent être concernés par cette maladie. → Symptômes Les symptômes de la maladie sont des gonflements, parfois accompagnés de boutons, au niveau de la tête, des oreilles, des lèvres, de l'anus et des yeux. Une fois malade, le lapin meurt assez rapidement. LA MALADIE VIRALE HÉMORRAGIQUE Maladie virale hémorragique → Cause et mode de contamination La maladie virale hémorragique (VHD ou RHD) est une maladie mortelle causée par un virus. Elle se transmet par contact direct entre lapins mais aussi lors de contact avec l'homme (chaussures, vêtements,…), avec des objets ou par la nourriture. Elle se transmet parfois par les insectes. → Symptômes Il n'y a en général aucun symptôme évident, la mort survient très rapidement : 12 à 36 heures après l'infection. TRAITEMENT ET VACCINATION Il n'existe pas de traitement spécifique contre ces deux maladies. La vaccination est le seul moyen de protéger votre lapin. Il existe un vaccin qui protège en une seule injection contre ces deux maladies. Il protège votre lapin dès 5 semaines d'âge et pour une année entière ! Demandez conseil à votre vétérinaire. Il faut ensuite réaliser un rappel de vaccination tous les ans afin que votre lapin continue à être protégé. Source : http://www.santedulapin.fr/sante-du-lapin-vaccination.aspx, MSD Santé Animale Copyright 2013

Ce 29 juillet 2017, vaccination des volailles avec l'association @ petit élevage de Hesbaye

30% des tiques en Belgique sont porteurs de la maladie de Lyme. Protégez-votre chien et pensez au vaccin !

Chatons sphynx disponibles, suivis au cabinet.

Les assurances pour animaux se développent de plus en plus en Belgique. Elles peuvent couvrir les accidents, les maladies ou encore prendre en charge la stérilisation et les vaccins. L'assurance animalière est un facteur d'amélioration de la qualité des soins vétérinaires, puisque plus de moyens peuvent être mis en oeuvre et les décisions thérapeutiques sont facilitées. N'hésitez pas à vous renseigner, à comparer les différentes assurances et formules pour trouver celle qui vous convient le mieux. Un animal assuré est un animal mieux soigné. Infos, comparateur, etc sur : http://www.assurance-animaux.be/

Communication du SPF Santé publique et de l’Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire suite à la publication du nouvel arrêté royal du 18 septembre 2016 relatif à la lutte et à la prévention contre la rage. NOUVELLES MESURES POUR PRÉVENIR ET LUTTER CONTRE LA RAGE Depuis le 27 octobre 2016, de nouvelles mesures sont en vigueur pour renseigner et gérer des cas suspects de rage. La législation précédente datait déjà de 1967 et n’était plus adaptée à la situation actuelle. Après une large concertation avec toutes les parties concernées, l’AR du 18 septembre 2016 est maintenant publié. Il est à noter qu’il s’agit d’un projet de longue date, il n’est donc pas lié à la découverte récente d’un cas de rage atypique chez une chauve-souris à Bertrix. Le SPF Santé publique, Sécurité de la Chaîne alimentaire et Environnement et l’Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire (AFSCA) vous en présentent les points principaux. Cas suspects : le vétérinaire communique directement avec l’unité provinciale de contrôle de l’Agence Alimentaire Un responsable (détenteur ou propriétaire) qui suspecte que son animal puisse être infecté par la rage doit immédiatement faire appel à un vétérinaire agréé. Le vétérinaire en question fournit à l’unité provinciale de contrôle (UPC) de l’AFSCA : Ses constatations Les éléments de l’enquête épidémiologique (provenance de l’animal, contact avec d’autres animaux, documents d’identification…) En attendant les résultats de l’examen de laboratoire et/ou de l’enquête épidémiologique, l’AFSCA peut ordonner d’isoler ou de mettre sous surveillance les animaux suspects. En cas de confirmation de la rage Si les résultats de laboratoire confirment une contamination par la rage, l’AFSCA détermine alors les dates effectives de début et de fin de la période critique ainsi qu’une zone de vigilance accrue. Le Ministre de l’Agriculture décide si la vaccination contre la rage devient obligatoire. Période critique L’AFSCA détermine la période critique et ordonne l’euthanasie de tous les animaux qui dans ce laps de temps ont pu être infectés : Tout animal qui a été mordu ou griffé par un animal infecté Tout animal carnivore qui a séjourné à la même adresse qu’un animal infecté, et qui a eu des contacts directs avec celui-ci Tout chien, chat ou furet qui a été introduit illégalement en Belgique à partir d’un pays à risque (un pays qui n’est pas repris à l’annexe II, partie 1 ou partie 2 du règlement d’exécution (UE) n°577/2013) Les animaux identifiés qui ont été valablement vaccinés contre la rage, ne doivent cependant pas être euthanasiés. Pour tous les animaux qui n’ont pas été euthanasiés, l‘AFSCA peut imposer qu’ils soient placés sous surveillance (maximum 6 mois), isolés et/ ou vaccinés. Zone de vigilance accrue Mesures de précautions générales L’AFSCA délimite aussi une zone de vigilance accrue autour de l’endroit où l’animal infecté se trouve et/ ou autour de l’endroit où des contacts avec d’autres animaux ont pu avoir lieu. Les mesures de précautions peuvent rester d’application dans cette zone jusqu’à 6 mois après la constatation du dernier cas de rage. Animaux errants Tous les chiens et chats errants de la zone de vigilance accrue sont capturés aussi vite que possible et placés dans une fourrière. Chien ou chat identifié : L’animal est libéré dès que son propriétaire ou détenteur prouve qu’il a été valablement vacciné. Si ce n’est pas le cas, il est d’abord vacciné sur place, avant d’être rendu à son responsable. A la maison, l’animal doit être isolé et placé sous la surveillance d’un vétérinaire (maximum 6 mois). Chien ou chat non identifié L’animal est maintenu sous surveillance à la fourrière durant 6 mois (à compter du jour de sa mise sous surveillance). Après cette période, l’animal peut être confié à l’adoption. Vaccination Le Ministre de l’Agriculture peut, sur base de la situation sanitaire et d’une évaluation de risque, décider de rendre la vaccination contre la rage obligatoire. Pour rappel : le dernier cas de rage autochtone en Belgique date de 1999 et la Belgique est officiellement indemne depuis 2001. La vaccination en Belgique n’est plus obligatoire depuis le 1er mars 2016. Seuls les chiens, chats et furets qui voyagent en dehors de la Belgique ou qui viennent d’un autre pays en Belgique, doivent encore être vaccinés (voir le communiqué de presse du Ministre de l’Agriculture du 25/02/2016). Pour les chiens, chats et furets, la vaccination est complétée dans le passeport européen. Pour les autres espèces animales, la vaccination est inscrite sur un certificat sanitaire. En savoir plus Lisez le texte complet de l’arrêté royal du 18 septembre 2016 relatif à la lutte et à la prévention contre la rage, publié dans le Moniteur belge du 17 octobre 2016. Il remplace l’arrêté royal du 10 février 1967. Accéder au Moniteur Belge (Numéro NUMAC: 2016024202)