L'Instant Et Sens-Ciel
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La kinésiologie aide à comprendre le sens d'un comportement inhabituel de l’enfant et à le débloquer : pleurs, sommeil, cauchemars, propreté, crises de colère, de jalousie...
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facebook.comDes chutes, pas toujours anodines on pense souvent à soigner le corps, mais le cœur ? Je reçois aujourd'hui un garçon de 8 ans qui vient me trouver avec sa maman. Il a fait une mauvaise chute lors d'un camp de gymnastique et s'est cassé Le Bras. Il était seul et a dû être opéré. Il n'a retrouvé ses parents qu'après l'intervention. Depuis il s'est renfermé et n'est plus retourné faire de la gym et n'aime plus y participer à l'école. Comme il ne veut pas parler, je fais parler son corps et effectue un rééquilibrage énergétique. Je trouve où se situent ses peurs et ce dont il a besoin pour les dépasser. Il revient me voir quelques temps plus tard et je constate qu'il est beaucoup plus ouvert. Cette fois, il me parle volontiers. J'apprends qu'il s'intéresse à beaucoup de choses et qu'il s'est remis à les raconter à la maison. Sa maman est heureuse du changement et apprécie d'avoir retrouvé son garçon loquace et heureux de vivre. Il me parle cette fois de ses crises de somnambulisme et nous trouvons ensemble l'événement et l'émotions déclencheurs ainsi que deux exercices de brain gym qu'il devra faire à la maison. À sa nouvelle visite, il m'annonce qu'il a fait les exercices et qu'il a remarqué de grands changements. Il va plus volontiers à la gym à l'école et s'est remis à faire les agrès, ce qu'il n'osait plus depuis sa chute. De plus, il n'a plus fait du tout de nouvelle crise de somnambulisme. Sa maman précise même , malgré le changement de lune. Génial !
La phobie scolaire, vraiment une peur de l'école ? Je reçois aujourd'hui un jeune garçon dynamique et souriant âgé de 9 ans accompagné de sa maman. Il me parle avec plaisir, me regarde dans les yeux et m'explique volontiers pourquoi il vient me voir. Il m'explique qu'il dort mal et doit se lever plusieurs fois durant la nuit aux toilettes avec des diarrhées. Sa maman m'explique que ça arrive surtout lorsqu'il va à l'école et que ces matins là aussi il doit pouvoir se soulager complètement avant de pouvoir partir. Ce garçon acquiesce et je remarque qu'il s'est fermé. Lorsqu'il reprend la parole, son débit est rapide et saccadé. Il m'explique que sa maîtresse interdit aux élèves de se rendre aux toilettes pendant la classe. Ils ne peuvent y aller que pendant la récré. Il ajoute que la maîtresse crie beaucoup et qu'il est en terrorisé. Il m'explique qu'il aime bien apprendre et qu'il a de bons résultats. Je me rends compte qu'il est très sensible et qu'il a besoin de cadres précis pour se sentir en sécurité. Il éprouve en fait une dualité entre son envie d'obéir à la maîtresse et ses besoins physiologiques. Du reste un autre élève de sa classe est régulièrement mouillé, car il n'ose même pas demander. Pour lui c'est un stress immense d'imaginer ne pouvoir se retenir et se souiller. Du coup cette angoisse tourne en boucle inlassablement dans son esprit et se vider la nuit, lui donne une sécurité. La maman écoute et complète. Elle parle de la maîtresses de façon bienveillante, indique les démarches qui ont déjà été faites afin de rassurer son fils. La façon de parler de cette maman est primordiale pour l'enfant. D'entendre que sa maman ne cautionne pas ces façons de faire, mais analyse la situation et cherche des solutions est un moyen de sécuriser ces garçon. Il ressort de cette séance que ce jeune garçon a besoin d'expliquer à sa maîtresse ce qu'il ressent lorsqu'elle crie ou qu'elle les presse. Il a été décidé avec sa maman de prendre un rendez-vous avec ladite maîtresse durant lequel il va pouvoir s'exprimer et peut-être créer une relation de confiance entre eux. Selon un retour de la maman, simplement d'évoquer le problème à haute voix, alors qu'aucun rendez-vous avec la maîtresse n'avait été pris, a suffit à redonner des nuits paisibles à ce garçon.
D'où vient la colère des enfants ? Un garçon de 4 ans vient me trouver avec sa maman. Sa maman n'arrive plus à supporter les provocations et les colères de son fils. Elle m'explique qu'il passe son temps à tester les limites et à provoquer ses parents. J'apprends qu'il n'a jamais été un enfant "facile". Cet enfant me ramène au jour de sa naissance et m'indique ne pas avoir supporté que le cordon soit coupé. Pour lui ça a été très dur de venir au monde, d'ailleurs l'accouchement a été interminable. Il a eu l'impression qu'en coupant le cordon il a perdu le lien qui le reliait à sa maman. Je m'interroge sur son sommeil, la maman me répond que maintenant ça va, mais qu'il n'a pas dormi pendant longtemps. Sa colère vient de là. Lors de sa naissance, il a perdu ses repères, ce qui l'a empêché de dormir. Il n'a été ni compris, ni entendu ce qui l'a énormément frustré. Il demande maintenant un cadre précis et des moments privilégiés avec sa maman pour créer une relation de confiance dans la bienveillance. Il a besoin de savoir que même si ce cordon a été coupé sa maman est là pour lui dans l'amour infini et inconditionnel. Les enfants depuis tout bébés ont la pleine conscience de ce qui leur arrive. Ils ressentent les émotions qui les entourent, mais ne savent pas les expliquer. Certains événements, comme la naissance, sont pour eux des chocs émotionnels violents. Pour nous, il paraissent être naturels et évidents. Eux ne reçoivent aucune explication et doivent donc interpréter ces événements, ces émotions. Les pleurs incessants, les réveils nocturnes fréquents, l'eczéma, les reflux, puis plus tard les colères, les coups peuvent être des signes que votre enfant a qqch d'important à vous exprimer. Pour les comprendre, il existe différents moyen : parfois il suffit d'énumérer à haute voix les causes possibles, l'enfant change de comportement lorsqu'on est sur la bonne piste, la communication connectée est un moyen magique exprès pour les parents, ou une visite chez un praticien en "Parole à bébé" ou en kinésiologie de l'enfant peuvent changer votre quotidien et la relation que vous construisez avec votre enfant.
Une très belle façon d'apprendre en s'amusant les valeurs importantes de la vie telles que l'estime de soi, le respect des autres, l'expression de ses émotions qui aideront nos enfants à devenir des adultes bien dans leur peau.
L'impact de nos mots Un petit garçon de 5 ans vient me trouver avec sa maman, car il éprouve beaucoup de difficultés à aller à l'école. Ce petit garçon est renfermé, ne me parle pas du tout. Au fil de la séance, je me rends compte que ce petit souffre d'une grande peur de l'abandon et a peur que personne ne revienne le chercher. Il voit son école comme un endroit lugubre, mais d'une fois qu'il y est, il s'applique beaucoup et prend du plaisir. Quand il ressort il a le sourire. J'apprends qu'il y a un autre garçon qui a tendance à le brutaliser, pas spécialement lui, aussi les autres enfants et qu'il n'est pas à l'aise quand il est là. J'apprends également que ses parents se sont séparés. Ce qui lui a été expliqué par rapport à la séparation c'est que les parents se sont quittés parce qu'il n'y avait plus d'amour entre eux. C'était terrible pour lui d'entendre ça et il s'interroge sur le fait que l'amour entre lui et ses parents puisse aussi s'arrêter. Avec l'aide de sa maman, nous essayons de lui expliquer la différence entre l'amour inconditionnel et infini parental et le sentiment amoureux. Une discussion avec ses parents sur les raisons de cette séparation pourrait aussi être bénéfique. Ces différentes explications semblent avoir portés leurs fruits car quelques temps après c'est un garçon beaucoup plus ouvert, qui rigole et discute qui revient. Sa maman m'explique que les crises ont vraiment baissé d'intensité, même si aller à l'école lui soutire encore quelques larmes. Il s'investit davantage dans la séance et je découvre un garçon à l'esprit vif, toujours en réflexion, qui cogite beaucoup. Une équilibration des énergies est faite et conseil est donné d'exprimer plus ses émotions, peut-être que la maman, en exprimant elle aussi ses émotions, tant positives et négatives pourrait l'aider à s'exprimer et à s'apaiser.
L'impact d'une fausse couche sur la fratrie Une jolie fille de 3 ans vient me trouver avec sa maman. Toutes les nuits, elle se réveille et rejoint ses parents dans le lit conjugal. Durant la séance, je me rends compte qu'il y a un lien fusionnel entre l'enfant et sa maman. Et cette puce se fait du soucis pour sa maman, elle ressent sa tristesse, une grande tristesse. J'apprends que la maman a fait une fausse couche récemment. La grossesse avait été annoncée à la petite puce ainsi que le fait que le bébé est parti. La petite fille a du mal à comprendre où est parti ce bébé. Elle aurait besoin de le visualiser. Je demande à la maman si elle veut bien dessiner ce bébé. Elle accepte et ça engendre énormément d'émotions. La maman a dessiné un bébé et sa fille lui a demandé de le dessiner dans son ventre. Pour elle c'était important de le voir dans le ventre de sa maman. Elle regarde le dessin et dit :"oui c'était ma petite soeur." Les enfants ont une imagination débordante et comprennent la puissance du symbolisme d'un objet. Ce dessin n'était pas qu'une feuille de papier, pour elle c'était vraiment comme une photo de sa soeur. Ça lui a permis à elle et sa maman de lui dire au revoir et de la laisser partir. J'ai l'impression que ce moment à apaisé les deux.
À la demande de ma fille, je décide d'organiser une après-midi kinesthésique dans sa classe de 2 H (enfants entre 5 et 6 ans). Elle fréquente l'espace Créa'Bouge où elle pratique le brain gym et je propose à Valérie Moret sa fondatrice d'imaginer cet après-midi. L'esprit de Valérie foisonne d'excellentes idées et elle est la partenaire idéale pour cette activité. Les enseignantes nous ont accueillies avec beaucoup de gentillesse et nous ont donné carte blanche. Nous avons choisi un vendredi après-midi, j'avoue ce n'est pas le moment idéal pour trouver des enfants calmes et reposés. Les enfants arrivent et s'installent près de nous facilement et leur curiosité est tout de suite piquée. Nous commençons par un jeu de présentation. Le caractère des enfants se révèle, pour certains il est très facile de parler devant les copains, pour d'autres très difficile de parler d'eux-mêmes, d'autres encore ont besoin de capter l'attention même lorsque la parole est à qqn d'autre. Ok nous avons capté la dynamique de groupe et les énergies qui s'en dégagent. Et disposons les enfants de façon à obtenir les meilleures conditions de travail. Une présentation du cerveau et du stress leur est faite. Ils savent déjà très bien à quoi sert le cerveau et malheureusement savent aussi très bien décrire une situation de stress, les émotions qu'ils ressentent à ce moment-là. Une raconte qu'elle se met à trembler lorsqu'elle se rend compte qu'elle a oublié son goûter, un décrit qu'il "pique sa crise" lorsqu'il n'obtient pas ce qu'il veut et une autre indique qu'elle sent son coeur accélérer lorsque sa maman lui demande de se dépêcher et qu'elle entend hop hop hop. Nous leur montrons les 4 mouvements de base du brain gym (ECAP) qui les aideront à se détendre dans ces moments là. Nous effectuons ensuite quelques exercices afin de connecter les deux hémisphères du cerveau et terminons par du Brain Gym en musique auquel même la maîtresse participe. Nous remarquons combien certains mouvements semblent très compliqués pour certains et comment d'autres parviennent avec une grande aisance à se concentrer, à trouver le rythme. La deuxième partie de l'après-midi est consacrée au thème de la peur du noir et des monstres, peurs récurrentes chez des enfants de cet âge. Un conte est lu et nous demandons à chacun, si comme le personnage principal, il leur arrive d'avoir peur le soir et ce qui les rassure. Certains osent se dévoiler et d'autres jouent les braves... Nous leur donnons une feuille noire et de la peinture fluorescente et leur demandons de peindre ce qui pourrait les rassurer dans ce moment où ils ont peur. Les enfants perçoivent la puissance symbolique d'un objet rituel qu'ils peuvent utiliser dans les moments difficiles. Se retrouver devant une feuille vierge est déroutant pour les enfants qui ont l'habitude de suivre des consignes. Nous les stimulons et poussons cette créativité innée. Il n'y a pas eu deux dessins de la même chose. Un a dessiné sa veilleuse qui change de couleur, il lui a mis une poignée pour l'emmener aux toilettes la nuit, une sa grande sœur qui viendrait dormir avec elle, un son papa et sa maman le jour de leur mariage, leur amour le rassure. C'était magnifique de voir ces protecteurs prendre vie, d'entendre les histoires de chacun et surtout la magie lorsque nous avons éteints les lumières et que les peintures se sont illuminées... "moi je vais l'accrocher dans ma chambre" Super, nous avons réussi 😊
L'impact de nos mots sur nos petits Je reçois aujourd'hui un petit garçon de six ans, joyeux, ouvert et qui me parle vraiment facilement. Il est accompagné de sa maman. Ce petit garçon vient me trouver car il a beaucoup de mal à s'endormir. Il se réveille la nuit va rejoindre ses parents et s'il doit retourner dans son lit, il peine à se rendormir. Il me dit qu'il n'arrive pas à s'endormir car il pense à ses soucis et à des monstres. Je lui demande quels sont ses soucis, mais il ne sait pas me répondre, par contre, il veut bien me dessiner un des monstres qui lui font peur. Là je me rends bien compte que ce monstre, un de ses soucis, prend toute la place... on imagine ensemble comment faire pour que ce monstre ne vienne plus le trouver. Et ensuite, je lui propose de demander directement à son petit coeur, son moi profond, quel est le soucis qui tourne dans sa tête et l'empêche de dormir. Je lui montre le fonctionnement tu test musculaire et il est interloqué par la façon dont son bras baisse alors qu'il y met vraiment toute sa force. Après m'avoir montré les choses qu'il apprécie, il choisit le mot conflit, disputes. Quand je lui demande si ce mot lui évoque quelque chose, je vois qu'il se renferme, qu'il ne veut pas en parler. Le test musculaire m'indique "disputes entre papa et maman". Il ne sait pas quoi me dire. Le petit garçon assuré, ouvert et joyeux a laissé la place à un petit garçon recroquevillé, la voix tremblante et le regard baissé. Sa maman le rassure sur le fait qu'il peut me parler, qu'elle peut sortir s'il préfère, qu'elle est là aussi pour l'écouter et le rassurer. Il préfère qu'elle reste et se met à m'expliquer que ça arrive que ses parents se disputent pendant qu'il regarde la télé et que ça le dérange parce qu'il n'entend plus le son alors qu'il se lève et va les rejoindre. Je me rend compte qu'il essaie de faire le lien, d'être le lien entre papa et maman aussi la nuit lorsqu'il se met entre eux pour pouvoir dormir. En le touchant, je me rends compte que sa plus grande crainte est que son papa parte. La maman me dit qu'effectivement c'est une idée qui a déjà été évoquée, mais qu'ils ont décidé de suivre une thérapie. Alors nous expliquons à cet enfant en pleine conscience que ses parents ont décidé de se battre et qu'il a le droit ce petit de leur demander de baisser le ton, de montrer sa présence à ses parents dans ces moments de dispute. Je vois cet enfant changer à nouveau, retrouver son assurance au fur et à mesure qu'on lui parle et qu'on réfléchit aux solutions pour qu'il ne soit plus dérangé par ces disputes. On ne se rend pas toujours compte de l'impact de nos mots sur les oreilles de nos enfant, même s'ils ne sont pas impliqués dans la discussion.
Une histoire sur une fausse couche avant l'arrivée d'un enfant Aujourd'hui, je reçois garçon de 4 ans et sa maman. Ils viennent me voir pour trouver une explication aux crises de colère du petit garçon. Il me ramène dans sa vie intra-utérine et m'indique qu'il se sent anéanti et qu'il a peur de ne pas arriver au terme de la grossesse. La maman m'explique qu'avant d'être enceinte de ce petit bonhomme, elle a fait une fausse couche. Ce garçon a ressenti les résidus d'énergie de ce bébé qui était présent avant lui et avait peur que lui non plus ne puisse pas naître. À ce moment là de la séance, je pratique une libération de stress. Je lui ai expliqué que la mission de vie de ce bébé avant lui était certainement de préparer la place pour lui. Qu'il était là "juste" pour expérimenter la vie intra-utérine, mais qu'il n'avait pas à aller plus loin, il a permis à son papa et à sa maman de voir qu'ils pourraient devenir parents et certainement de gagner en confiance. C'était impressionnant comme il m'écoutait et acquiesçait à ce que je disais. J'ai remarqué également que d'entendre ça avait fait beaucoup de bien à la maman aussi.
Le sommeil ! Cette problématique qui touche tant de parents ! Aujourd'hui une fille de 3 ans me ramène au jour de sa naissance. Le premier mot qu'elle choisit est dans sortie du ventre, blessée. Pas elle, mais maman. Elle choisit ensuite césarienne, acte chirurgical. Elle m'indique qu'elle ne voulait absolument pas sortir de du ventre de sa maman, qu'elle n'était pas prête du tout à sortir et à être séparée. Elle a toujours peur de perdre ce lien si fort qu'elles avaient lorsqu'elle était dedans. Elle m'explique qu'elle se sent désorientée, perdue et elle a encore beaucoup d'angoisse que sa maman puisse la laisser. Elle m'Indique être encore allaitée. L'allaitement est quelque chose de fantastique pour elle, le moment où elle est au sein, elle ressent à nouveau la même plénitude que lorsqu'elle était dans le ventre. Ça l'apaise énormément. Elle m'explique que la journée elle a moins besoin de téter parce qu'elle a plein d'autre choses à faire. Je sens qu'elle déborde d'énergie, qu'elle est intéressée par plein de choses, mais qu'en même temps l'autonomie lui fait peur. Elle a besoin d'être constamment rassurée, que sa maman lui expliques bien où elle va, quand elle part ou ce qu'elle fait pendant qu'elle dort. La nuit c'est une trop grande séparation pour elle. Elle se sent aussi coupable d'accaparer sa maman autant. Elle se rend compte qu'elle doit aussi s'occuper d'un grand frère, mais ne peut faire autrement, même si elle l'aime super fort. Elle demande si ce serait possible de dormir dans la chambre parentale, pour un temps, dans son lit. Une présence la rassurerait. Ce serait pour qu'elle perde ses angoisses et trouve un sommeil serein. J'ai essayé de la rassurer, par une technique de libération de stress que sa maman à reproduite chez elle au moment du coucher. Quelle joie quand quelques heures plus tard je reçois ce message : "Ce soir elle s'est endormie paisiblement sans cris ni pleurs!!!!" Youpyyy !
Pour les enfants qui ont des troubles de l'attention ou de la concentration, un atelier de brain gym pour améliorer les connexions entre les deux hémisphères du cerveau. Ces exercices améliorent la concentration, l'attention, la diction....
🎄*** RÉSULTAT DU CONCOURS SPÉCIAL NOËL ***🎄 Tout d'abord un grand merci pour votre nombreuse participation. Félicitations à Aurore Délèze qui remporte une séance. Je vous souhaite une belle journée de Noël remplie de magie.