Le Québec, une histoire de famille

Le 15 février 1839 marque la pendaison de cinq patriotres croyant à l'optention d'un gouvernement redevable et à l'élimination de la corruption du gouvernement entre autres. Ils sont pendus à l'extérieur des murs de la prison pour les montrer en exemple au peuple. Je salue ces hommes qui croyaient en la liberté et ces familles brisées par la mort d'un des leurs. Ayons une reconnaissance envers ces personnes qui ont cru en un idéal pour la populaition du Bas-Canada et le Haut-Canada.

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Le «conteux» prononcera une conférence le 21 mars prochain à la résidence Vent de l'Ouest. Nous entretiendrons les résidents sur la seigneurie Jacques-Bizard jusqu'à nos jours. Les Jacques Bizard, Louis Buade compte de Frontenac, Pierre Foretier, Denis-Bajamin Viger et la famille Papineau seront au rendez-vous. Nous ferons une mention spéciale à l'oeuvre de Marie-Amable Foretier qui a oeuvré auprès d'Émilie Gamelin entre autres.

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Joyeuse Saint-Valentin !

Une femme dans la révolte

Est-ce que l'on peut s'imaginer ce qu'une épouse pouvait ressentir et vivre dans l'entourage d'un patriote? L'auteure Mylène Bédard relate cette situation entre Julie Bruneau et son mari Louis-Joseph Papineau, chef engagé du mouvement de la Rébellion 1837-1838. C'est une facette intéressante à découvrir. La femme avait son influence auprès de son homme qu'elle aimait.

Le «conteux du village» a maintenant sa rubrique «Les dires du conteux ou les histoires brèves» sur son site web.

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Roger Dugas nous partage une coupure de journal sur laquelle un couple se trouve réuni à nouveau depuis aujourd'hui, soit Guy Dutour et Françoise Locas. Rien ne les séparera dans l'avenir.

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Une page de l'histoire de l'île Bizard vient de tourner avec le Décès de Françoise Locas Dutour à l'âge de 85 ans, aujourd'hui 11 février. La résidente de l'île Bizard avait une passion de la politique municipale, provinciale et fédérale. Chaque candidat à la mairie de l'île Bizard entre autres devait obtenir sa bénédiction avant d'engager une campagne électorale. Elle ne l'accordait pas automatiquement. Elle savait défendre ses causes. Voici une photo d'elle même vers l'âge de 20 ans. J'ai eu le bonheur de la rencontrer à plusieurs reprises dans le cadre de la rédaction de mon livre portant sur l'histoire de la côte Sainte-Geneviève. Je la remercie pour sa générosité et pour les belles anecdotes qu'elle m'a partagées. J'offre mes condoléances à la famille éprouvée ainsi qu'à ses amis.

Biographie – DUPUY, ZACHARIE – Volume I (1000-1700) – Dictionnaire biographique du Canada

Jacques Bizard lui succède. Il est nommé officiellement le 1e mai 1677 sous la recommandation du gouverneur Louis Buade, comte de Frontenac. Ce dernier sera du mariage de Jacques Bizard avec Jeanne-Cécile Closse, fille de Lambert Closse et d'Élisabeth Moyen. Sur la carte vous remarquez l'île Major nommée ainsi en l'honneur de Jacques Bizard qui en obtient la propriété à l'automne 1678.

Médiathèque littéraire Gaëtan-Dostie

Je vous partage la passion d'un de mes anciens collègues du journal étudiant «Campus Estrien» de l'Université de Sherbrooke. Vous découvrez un musée unique à Montréal.

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C'est le premier billet d'autobus que je me souviens d'avoir acheté. C'est le billet que j'utilisais pour prendre le métro à mon retour de de l'Université de Sherbrooke. Je faisais le voyage aux trois semaines. Je partais de Sherbrooke le vendredi vers 11 h 45 pour finalement arrivée à Sainte-Geneviève vers 19 h. Le dimanche soir, quelqu'un venait me conduire au terminus provincial à Berri pour le départ de 18 h 30. J'arrivais à ma maison de pension à Sherbrooke vers 1 heure du matin. Pas besoin de vous dire que la maman était ben contente de me voir malgré ma grosse poche de linge.

Bref historique des titres de transport à Montréal

Historique des titres de transport. En partance de Sainte-Geneviève nous devions utiliser le service de la Provincial Transport. Maurice Chauret a été un des chauffeurs de la ligne qui reliait Sainte-Geneviève à Cartierville d'où nous prenions l'autobus de Montréal.

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J'ai ajouté sur mon site web sous l'onglet «Tites vues» la conférence prononcée par Soeur Christine Mailloux, s.s.a., historienne, portant sur la Bienheureuse Mère Marie-Anne de son nom de laïc Esther Blondin. La conférence d'une durée de deux heures a été présentée à la Socité d'histoire de Terrebonne en 2015. L'avantage est que vous pouvez la visionner selon vorte disponibilité.