CSC Services publics
Description
Au sein de la CSC, la CSC Services Publics est la centrale qui assure la défense des intérêts des travailleurs du secteur public. Au sein de la CSC, la CSC Services Publics est la centrale qui assure la défense des intérêts des travailleurs du secteur public.
Notre souci majeur est l'amélioration des conditions de travail de tous les membres du personnel du secteur public.
Nous comptons plus de 160.000 affiliés. Nous sommes représentés dans tous les services publics et l'employeur doit nous considérer comme un interlocuteur à part entière pour toutes les catégories du personnel.
Avec les autres centrales de la CSC, actives dans l'enseignement et les entreprises publiques, la CSC Services Publics constitue le syndicat le plus important au sein du secteur public.
Plus de 5.000 militants, c'est à dire des travailleurs qui sur le terrain défendent les intérêts de leurs collègues, nous aident à mener à bien notre action syndicale. Ils sont les personnes de contact du syndicat sur le lieu de travail, ils se réunissent régulièrement pour décider de la marche à suivre pour solutionner les problèmes rencontrés au quotidien par leurs collègues.
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facebook.com« Jobs, jobs, jobs » martèle le gouvernement … Ne tombons pas dans le piège : c’est de la com ! La réalité est bien différente. Flexi-jobs, CDD à durée indéterminée, plans de restructuration, mesures d’économie… Ça n’va nin ! Les travailleurs ne sont pas de Kleenex ! La CSC Liège Huy Waremme appelle à la mobilisation : elle organise le mardi 27 février une grande marche dans les rues de Liège : départ 9h à la Citadelle, arrivée au Carrefour de Belle-Ile. Une invitation à construire une société juste et solidaire Cette action est une invitation à tous les citoyens qui, comme nous, souhaitent construire une société juste et solidaire, à toutes celles et ceux qui veulent protester autrement contre les mesures du gouvernement et porter des alternatives. Nous voulons un travail de qualité et un revenu décent pour tous et pas des jobs bradés à n’importe quel prix ! Alors, ensemble, le mardi 27 février, marchons pour des conditions de travail respectueuses des travailleurs, une protection sociale forte, des services publics de qualité. De la Citadelle au Carrefour de Belle-Ile Symboliquement, le cortège prendra son départ devant le CHR de la Citadelle, un hôpital qui veut faire des économies sur le dos des travailleurs, et rejoindra le Carrefour de Belle-Ile, Carrefour qui restructure et a l’intention de fermer son hypermarché de Belle-Ile. Là, des navettes ramèneront les marcheurs vers le CHR. Diverses prises de parole sont prévues lors de cette action de la CSC Liège Huy Waremme : au départ et à l’arrivée. Le rendez-vous est fixé au mardi 27 février à 9h devant le CHR de la Citadelle.
CHR de la Citadelle : rencontre avec le président du conseil provincial jeudi et interpellation du CA de l’hôpital vendredi Alors que la grève se poursuit au CHR de la Citadelle, les pressions exercées sur les travailleurs sont toujours aussi fortes. Mais la détermination du personnel ne faiblit pas. Du côté syndical, une délégation CSC Services Publics-CGSP rencontrera jeudi à 14h15, au Palais provincial, le président du Conseil Provincial de Liège, Claude Klenkenberg. Pendant l’entrevue une concentration de travailleurs de l’hôpital en guise de soutien aura lieu place Saint-Lambert. Vendredi 23 février, dès 8h, un rassemblement aura lieu dans le hall d‘entrée de l’hôpital, juste avant la réunion du conseil d’administration, une réunion à laquelle les organisations syndicales s’inviteront. «Nous allons à nouveau interpeller les administrateurs pour leur faire part de la détresse du personnel : il est grand temps qu’ils prennent conscience de l’impact de leurs décisions sur les travailleurs, indique Lina Cloostermans, Secrétaire permanente CSC Services Publics. Nous leur demanderons, et en particulier à la présidente, d’insister auprès de la direction pour qu’une réelle transparence soit enfin de mise dans les négociations. Nous estimons, en effet, qu’il y a rétention d’informations concernant le financement de l’hôpital et les heures supplémentaires. » Alors que le climat est déjà tendu, la direction met de l’huile sur le feu… «Nous apprenons qu’elle voudrait déjà appliquer aux personnes engagées dès le 1er mars un autre système que les 11% pour prestations inconfortables. Ce qui est totalement illégal, s’exclame Lina Cloostermans. En effet, la négociation se termine le 28 février et ce n’est qu’à ce moment qu’un protocole d’accord sera présenté aux organisations syndicales. Ensuite, ce protocole devra être envoyé à la ministre des Pouvoirs Locaux qui devra se prononcer sur la modification du statut pécuniaire du personnel de la Citadelle avant sa mise en application. La direction du CHR de la Citadelle doit cesser d’outrepasser ses obligations !»
CHR de la Citadelle : la situation tourne au vinaigre Ce mardi 20 février, une nouvelle négociation s’est tenue au CHR de la Citadelle. Malgré le rejet en bloc par le personnel des mesures d’économie sur son dos, la direction a maintenu les propositions qu’elle avait formulées le 12 février. Pire, la garantie d’octroyer 1% de la partie variable de la prime de fin d’année n’a même plus été donnée. «En plus, nous sommes toujours dans l’attente de données chiffrées sur ce que va engendrer l’indexation des honoraires médicaux qui n’a pas été prise en compte lors de l’élaboration du budget. De même, nous attendons encore le montant de la correction du budget de financement des hôpitaux de janvier, ce qui pourrait avoir un impact positif sur les économies que l’hôpital veut réaliser. Et, nous ne connaissons toujours pas la situation des heures supplémentaires, un élément pourtant capital pour éviter la réduction des effectifs. Nous avons beau insister pour obtenir ces données essentielles, la direction fait la sourde oreille ! Ceci en dit long sur la manière dont est gérée l’institution», s’exclame Lina Cloostermans, Secrétaire permanente CSC Services publics. A l’issue de la réunion, le front commun syndical avec le SLFP a été rompu car le syndicat libéral s’est désolidarisé des autres organisations en donnant un avis positif sur les propositions de la direction ! Une prise de position d’autant plus étonnante que la négociation s’achèvera le 28 février, qu’aucun protocole d’accord n’a encore été rédigé, qu’une assemblée du personnel était prévue à la suite de la négociation de ce mardi et trois jours de grève décidés. Furieux de la tournure des événements, les affiliés CSC Services publics et CGSP ont décidé de maintenir la grève ces trois prochains jours.
CHR Citadelle : le personnel rejette en bloc toutes les propositions de la direction Ce mercredi matin, les organisations syndicales ont fait part aux travailleurs des nouvelles propositions d’économie touchant le personnel émises par la direction lors de la réunion de négociation du 12 février. « Ces propositions ont été rejetées en bloc par les travailleurs ; ils refusent que l’autorité réalise des économies sur leur dos, explique Lina Cloostermans, Secrétaire permanente CSC Services Publics. La Citadelle doit explorer d’autres pistes si elle veut faire des économies, mais il n’est pas question que ce soit une nouvelle fois le personnel qui trinque. Les travailleurs estiment notamment que l’on peut faire des économies par exemple sur les voitures de fonction ou les frais de représentation. Et, il faut aussi signaler que les directions ont des barèmes au-delà de ce qui est prévu dans le secteur tandis que certains travailleurs n'ont même pas le minimum : aide-soignante, informaticien, assistant-logistique.. Il est clair aussi que les médecins doivent être mis davantage à contribution…» Lors de la prochaine réunion de négociation, c’est-à-dire le 20 février, les organisations syndicales ont donc été mandatées pour faire part à la direction du rejet en bloc de ses propositions. Trois jours de grève ont d’ores et déjà été décidés : les 21, 22 et 23 février. «Les travailleurs sont déterminés : ils veulent aller au finish ! Ils en ont ras-le-bol de voir leurs conditions de travail se dégrader sans cesse. Et je le rappelle à nouveau, c’est parce qu’ils ne veulent pas avoir un drame sur la conscience, c’est parce que le patient est leur priorité qu’ils refusent catégoriquement ces mesures d’économie », conclut Lina Cloostermans.
CHR de la Citadelle : de nouvelles propositions ont été faites… Lors de la réunion de négociation qui s’est tenue ce lundi après-midi au CHR de la Citadelle, la direction a fait de nouvelles propositions sur les trois mesures d’économie relatives au personnel. «Nous devons, à présent, analyser les chiffres, indique Lina Cloostermans, Secrétaire permanente CSC Services Publics. Et, de toute façon, ce sera aux travailleurs à dire si ces nouvelles propositions sont acceptables ou non. » Les organisations syndicales réuniront le personnel ce mercredi 14 février à 8h pour lui faire rapport de la négociation. Une nouvelle rencontre avec la direction est déjà fixée au mardi 20 février à 8h30.
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Problématique métiers lourds : grève générale prématurée Le syndicat du secteur public CGSP a annoncé une grève générale le 27 février prochain pour la problématique des métiers lourds. La CSC Secteur Public estime que l'annonce d'une grève générale pour le secteur public est inutile et prématurée. Le gouvernement n'a pas encore fait de propositions concrètes. En plus, il n'y a aucune précision quant à la liste des situations qui seront reconnues comme métier lourd. Aussi, nous demandons-nous qui devra partir en grève contre quoi? La CSC Secteur public veut négocier une bonne solution pour les métiers lourds, une solution qui répond aux attentes des agents des services publics, des entreprises publiques et de l'enseignement. Cette solution est absolument indispensable dès janvier 2019. En effet, elle permettra de corriger les conditions de pension plus strictes pour les membres du personnel qui exercent un métier lourd. Nous demandons au ministre Bacquelaine d'entamer enfin la négociation. Entre-temps, nous poursuivrons notre travail d'information et de sensibilisation quant à la problématique. En cas d'échec des négociations, des actions plus dures seront envisagées. Mais pas avant le début des négociations. Les récentes déclarations politiques quant au soi-disant quatrième critère (charge mentale ou émotionnelle), ont provoqué une grande incertitude. C'est pourquoi la CSC Enseignement soutiendra le quatrième critère par des initiatives spécifiques. La mise en place du principe des métiers lourds prendra bien du temps. Nos priorités sont : 1. Le respect du consensus atteint l’année passée au sein de la commission particulière pour le secteur public du comité national des pensions, qui permet aux personnes qui exercent un métier lourd sur la base de quatre critères, d’anticiper leur pension si elles le souhaitent ; 2. L’affectation totale du budget disponible sur la base du système des tantièmes, ce que le ministre avait déjà promis en avril 2016 ; 3. Des mesures transitoires convenables pour que les prestations fournies en métier lourd dans le passé par les travailleurs sans qu'ils ne bénéficient de la fraction de pension favorable, soient également prises en compte ; 4. La reconnaissance comme métier lourd doit valoir tant pour le personnel statutaire que contractuel du secteur public. La CSC Secteur Public regroupe : • CSC Services Publics • CSC Transcom • CSC Enseignement • COC – Christelijke Onderwijscentrale • COV – Christelijk Onderwijzersverbond
Le personnel du CHR de la Citadelle de Liège est en grève pour dénoncer les restrictions qui mettent en péril la sécurité des patients.
Ce matin, le personnel du CHR de la Citadelle de Liège est en grève pour dénoncer les restrictions qui mettent en péril la sécurité des patients.
CHR de la Citadelle : les travailleurs dans la rue ce 25 janvier parce que le patient est leur priorité ! Ce jeudi 25 janvier, dès 10h, des membres du personnel du CHR de la Citadelle, soutenus par des travailleurs de différentes institutions liégeoises, se rendront en cortège de l’hôpital à la place du Marché pour faire entendre leurs craintes quant à l’avenir de nos soins de santé. « D’économies en restrictions, les conditions de travail du secteur ne cessent de se dégrader, une dégradation qui menace réellement la sécurité des patients ! s’exclame Lina Cloostermans, Secrétaire permanente CSC Services Publics. Aujourd’hui, à la Citadelle, on envisage de diminuer les effectifs de 35 équivalents temps plein et de pénaliser financièrement les travailleurs tout en augmentant continuellement leur charge de travail. Demain, ce sera ailleurs. Ceci n’est que le début d’une avalanche de mesures dans le secteur...» Cette manifestation, en front commun CSC-CGSP, a pour but de sensibiliser l’opinion publique mais aussi de mettre le monde politique face à ses responsabilités. Les organisations syndicales espèrent rencontrer le bourgmestre ou l’un de ses représentants dès l’arrivée du cortège place du Marché. «C’est le politique qui vote les décisions au Conseil d’Administration de la Citadelle et la Ville de Liège fait partie des communes associées, situe Lina Cloostermans. Nous estimons que les économies ne doivent pas être supportées une nouvelle fois par les travailleurs. On en demande toujours plus au personnel et plus vite avec moins… alors qu’il est confronté à des patients qui présentent des pathologies de plus en plus lourdes ; patients auxquels on demande aussi de contribuer davantage au financement de l’hôpital. Nous disons « non » au Crowdfunding. Il y a d’autres pistes à explorer ! » Le personnel est à bout ! Les mesures d’économie envisagées aujourd’hui, c’est la goutte qui fait déborder le vase. C’est parce qu’il ne veut pas avoir un drame sur la conscience, c’est parce que le patient est sa priorité qu’il a décidé de descendre dans la rue ce 25 janvier. «Les gestionnaires se reposent sur cette conscience professionnelle pour en demander toujours plus : ils savent que le personnel fait passer avant tout les soins aux patients; raison pour laquelle il est très récalcitrant à se mettre en grève. Mais trop, c’est trop… Les travailleurs ont peur que cela ne s’aggrave encore et encore. Ils craignent pour la qualité des soins. Régulièrement, ils signalent que la sécurité des patients est menacée mais ne sont pas entendus ! Parce qu’ils ne veulent pas d’un drame, ils le crient donc haut et fort à l’extérieur, au public, aux politiques puisque à l’intérieur des hôpitaux ils ne sont pas écoutés. Ce n’est pas pour rien si nombre de personnes quittent les professions de la santé : elles sont dégoutées de la manière dont sont pris en charge les patients».