Préparez vos vacances avec Esprit parc national, une marque inspirée par la nature. Hébergement, restauration, miel et produits de la ruche, artisanat, sorties découverte des patrimoines… : consommer des produits et services Esprit Parc national, c’est consommer local ! Porteuse de valeur, la marque développée par les parcs nationaux de France atteste de l’engagement des créateurs de ces produits dans le respect de l’environnement et la protection du territoire et des écosystèmes. Découvrez une sélection de produits et services dans le diaporama

Qui est donc passé par ici ? La neige fraîche de ces derniers jours est propice au repérage d’empreintes de la faune sauvage. Pour en déterminer les auteurs, il vous faut observer son aspect général, le nombre, la forme et la position des doigts, pelotes, sabots ou encore griffes sachant que tout ne s’imprime pas forcément. Puis, mesurer l’empreinte, sa longueur, sa largeur. Attention, l’âge et l’allure de l’animal entraînent des spécificités. Si vous photographiez une empreinte, mettez à sa hauteur un repère de taille (pied, bâton de randonnée…). Deuxième série d’empreintes (actu du 15 janvier)… pour savoir à qui appartiennent ces petits pas, suivez le diaporama…

Vous avez 5 minutes ? Savourez le quotidien des cabris de Sofia, jumeaux nés en 2017 sur les hauteurs de Cauterets. 5 minutes au cœur du Grand Barbat à savourer (avec le son)… grâce au suivi réalisé par Jean-Paul Crampe.

Ici, éleveurs et vautours travaillent ensemble pour une montagne propre ! C’est ainsi que s’affiche aujourd’hui, sur le portail de la toute nouvelle placette d’équarrissage du lieu-dit Accaus (plateau du Bénou), la coopération ancestrale montagnarde entre rapaces nécrophages et élevage. Nichée au cœur du domaine vital de rapaces nécrophages, face à la Falaise aux vautours (Vallée d'Ossau), cette placette d’équarrissage est une alternative naturelle, gratuite et commode à l’enlèvement des carcasses réglementairement assuré par une entreprise en délégation de service public, en vue de leur incinération. Vingt-neuf éleveurs du territoire de la commission syndicale de Bielle-Bilhères, peuvent désormais déposer les carcasses de veaux, brebis, bovins de moins de 48 mois dans l’enceinte de cet espace grillagé (exception faite du mois de mai afin d’éviter une incidence sur les succès de reproduction en période de nourrissage des poussins). Plus d'infos dans le diaporama

Préservons le silence sous peine de danger de mort … Pour survivre durant les mois d’hiver où le froid, la neige et la rareté de la nourriture se font oppressants, les animaux puisent dans les petites réserves de graisse accumulées durant les douces saisons. Sans mauvaise intention, lors d’une randonnée en raquettes, ski de rando… nous produisons du bruit. Et ce bruit, particulièrement en hiver, dérange les espèces animales fragiles notamment le Lagopède alpin et le Grand Tétras. Les conséquences du dérangement sur ces espèce sensibles sont très néfastes. Stressés, ils s’enfuient en puisant dans leurs réserves déjà justes suffisantes pour passer l’hiver. Trois dérangements hivernaux (c’est très peu !) peuvent suffire à affaiblir les individus jusqu’à leur mort. A minima, ils auront des conséquences sur la reproduction printanière à venir donc sur l'évolution de la population. En se déplaçant, les animaux sont aussi plus exposés aux prédateurs comme l’aigle et le renard, et aux maladies (parasites liés au stress). Afin de préserver la tranquillité des galliformes, le Parc national a aménagé et signalé deux zones de quiétude (Gavarnie et Somport) et a cartographié des itinéraires de randonnées en réserve naturelle nationale du Néouvielle, afin de prévenir les randonneurs de la présence de zones d’hivernage. Pour en savoir plus, découvrez le diaporama…

Aidons « Jean-Pierre » à veiller sur les grands tétras du col du Somport, préservons la zone de quiétude indiquée par la signalétique jaune ! Retrouvez vendredi sur la page facebook du Parc national des Pyrénées, plus d’infos sur le dérangement hivernal des espèces sensibles et ses conséquences funestes… Photo: Jérôme Démoulin/ Parc national des Pyrénées

Esprit parc national, une marque inspirée par la nature. Hébergement, restauration, miel et produits de la ruche, artisanat, sorties découverte des patrimoines… : consommer des produits et services Esprit Parc national, c’est consommer local ! Porteuse de valeur, la marque développée par les parcs nationaux de France atteste de l’engagement des créateurs de ces produits et services dans le respect de l’environnement et la protection du territoire et des écosystèmes. Découvrez une sélection de produits et services dans le diaporama

Laisser sa trace… Qui n’a jamais fait de suppositions quant à l’auteur d’une empreinte dans la neige ? Pour déterminer l’animal qui est passé avant vous, il vous faut observer l’aspect général de la trace, le nombre, la forme et la position des doigts, pelotes, sabots ou encore griffes sachant que tout ne s’imprime pas forcément. Puis, il vous faut mesurer l’empreinte, sa longueur, sa largeur. Attention, l’âge et l’allure de l’animal entraînent des spécificités. Si vous photographiez une empreinte, mettez à sa hauteur un repère de taille (pied, bâton de randonnée…) sinon la détermination s’en trouve plus délicate. Pour savoir à qui appartiennent ces petits pas, suivez le diaporama…

Ecoutez 50 ans d'aventure humaine au Parc national des Pyrénées La version audio du magazine Empreintes aujourd’hui proposée, rend accessible à un large public, de la bouche même de certains de ses acteurs, l’aventure humaine du Parc national des Pyrénées. Un récit passionné et passionnant qui vous plongera dans l’ambiance tumultueuse de sa création. Vous revivrez au travers de témoignages de certains de ses acteurs (Jean-Paul Crampe, Charles Gerbet, Christian Habas), les premières années de sa matérialisation, découvrirez les premiers suivis scientifiques… Un numéro raconté par des gardes-moniteurs et élaboré par l’équipe de Fréquence Luz - Radio associative.

Besoin d’une bouffée d’oxygène aujourd’hui ? Savourez ces images d’un isard réalisées en novembre 2017. Ce mâle arbore une chaude fourrure aux couleurs chatoyantes et très contrastées, ce qui est moins marqué chez les femelles. En cette période de rut, cet ongulé adopte un comportement spécifique : il tire la langue, bêle (le bêlement s’entend faiblement sur la vidéo) et défend âprement son territoire de ses rivaux. A 1mn16, il souffle : il marque en fait son inquiétude car il ressent une présence mais sans vraiment l'identifier, car le garde-moniteur est immobile et à bon vent. Il ne sait pas trop… Images Laurent Nédélec/ Parc national des Pyrénées

Les Pyrénées, bastion du Milan royal. Premier site d’accueil hivernal de l’espèce en France, les Pyrénées jouent un rôle déterminant pour la conservation du Milan royal. L’an dernier, plus de 5 500 milans royaux hivernants y ont été dénombrés sur 124 dortoirs à l’occasion du comptage européen réalisé par le réseau Milan royal (coordination LPO). Avec 129 milans royaux observés à Accous et Bedous par les gardes-moniteurs du Parc national des Pyrénées, la vallée d’Aspe est une véritable terre d’accueil. Samedi 6 et dimanche 7 janvier, la 12ème édition de ce comptage simultané en Europe, permettra de suivre l’évolution de la population des milans royaux hivernants. En amont, des sessions de repérage sont actuellement menées afin d’identifier les sites « dortoirs ». Dortoir ? Le mot n’est pas galvaudé puisqu’en hiver, les milans royaux se rassemblent au crépuscule, en lisière de bois, pour passer la nuit ensemble. Ces sites rassemblent jusqu’à plusieurs dizaines d’individus, le plus souvent migrateurs, venus d’Allemagne, Pologne Suisse… Si vous souhaitez contribuer à une meilleure connaissance de l’espèce, remontez au plus tôt vos observations de rassemblements crépusculaires ou matinaux sur le territoire pyrénéen, à l’adresse mail : aurelie.deseynes@lpo.fr ou au 06.35.21.59.56 Pour reconnaitre un Milan royal, suivez le diaporama

Que 2018 vous soit aussi éblouissante, émouvante, sublimante, dépaysante... et colorée que Dame Nature...