Photos from Musée d’art sacré du Gard's post

#Prêt Quatre oeuvres d'Auguste Renoir ont quitté les réserves du musée d'art sacré du Gard... Prêtées au musée des Beaux-Arts de Séoul, elles seront présentées au public coréen dans le cadre de l'exposition "Renoir, Image of Women". Les verres sont protégés, les oeuvres emballées et mises en caisses isothermes pour les préserver durant leur long périple. Elles seront de retour en 2017 ! Témoignant de la richesse des collections des musées du Gard, de nombreux prêts sont sollicités par des institutions d'envergure internationale. Ces prêts font rayonner le patrimoine gardois à travers le monde.

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#Conférence "Une idole aux yeux mésopotamienne" Dimanche 4 décembre 2016, à 10h30 Salle de conférence de la Conservation des musées du Gard Entrée gratuite dans la limite des places disponibles Plus d'infos sur : http://www.musees.gard.fr/zoomer-sur-lactualite/les-conferences.html

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#Gratuité Le musée Pierre-de-Luxembourg, à Villeneuve-lès-Avignon, est gratuit le premier dimanche du mois, d'octobre à mai inclus, pour tous les publics ! Vous n'aurez plus d'excuses pour ne pas aller admirer le Couronnement de la Vierge d'Enguerrand Quarton, véritable chef-d'oeuvre de l'Occident médiéval ! #Tousaumusée

Semaine de la laïcité - Musées

#Laïcité Il y a 111 ans, le 9 décembre 1905, était promulguée la loi de Séparation des Eglises et de l’Etat. Pour commémorer cette date clé, le musée d’art sacré du Gard propose, à destination des classes de collège, une semaine autour du thème de la laïcité, du 6 au 9 décembre 2016. La visite sera ponctuée par une intervention théâtrale, ainsi que par de nombreux temps d'échange. Plus d'infos sur : http://www.musees.gard.fr/decouvrir-les-musees/musee-dart-sacre-du-gard/visites-et-ateliers/semaine-de-la-laicite.html

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#Coulisses Avez-vous déjà entendu parler du récolement des collections des musées de France ? Il s'agit d'une obligation légale qui impose aux conservateurs de contrôler, sur pièce et sur place, que chaque objet de la collection est bien présent. Cette opération essentielle permet également de surveiller l'état de conservation des oeuvres et de noter d'éventuelles évolutions dans le temps. C'est un travail colossal, entamé depuis plusieurs années par l'équipe de la Conservation des musées du Gard qui doit récoler quelques 25 000 objets présents dans les salles ainsi que dans les réserves des différents musées dont elle assure la gestion scientifique.

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#Conférence "Un petit autel à offrandes de Bali" Vendredi 18 novembre 2016, à 14h30 Musée Pierre-de-Luxembourg, Villeneuve-lès-Avignon Entrée gratuite dans la limite des places disponibles Plus d'infos sur : http://www.musees.gard.fr/zoomer-sur-lactualite/les-conferences.html

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Dans le parcours permanent du musée d'art sacré du Gard, découvrez cette superbe sculpture provenant du Nord-Est de l'Inde, datée du XIIe siècle, représentant la déesse Lakshmi. Le personnage féminin, à la poitrine généreuse, à la taille fine et aux traits réguliers est fortement déhanché. Les plis du cou, caractéristiques, renforcent la sensualité du personnage, pourtant très stylisé. La déesse est parée de riches bijoux : d'imposantes boucles d'oreilles, un collier épais à la base du cou, un collier à trois rangs couvrant les épaules et retombant sur le ventre au modelé sensuel, ainsi qu'une ceinture dont les rangs de perles, animés par le mouvement des hanches, tombent sur les cuisses. L'oeuvre est parcellaire. La déesse, traditionnellement représentée avec quatre bras, a perdu les deux bras du côté droit. Lakshmi est la déesse de la fortune et de l'abondance. C'est une épouse du dieu Vishnou, l'un des principaux dieux du panthéon hindouiste.

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#GrandeGuerre Le musée d'art sacré du Gard possède dans ses collections cette pièce émouvante, témoignage de la vie quotidienne des poilus dans les tranchées et de l'importance de la dévotion dans ce contexte de conflit mondial. Ce crucifix, fabriqué par un poilu vers la fin de la première Guerre Mondiale, est constitué de balles et de douilles de fusil. La croix repose sur un fragment d'obus utilisé en guise de socle. Un Christ crucifié en bronze moulé a été rapporté, de même que le motif rayonnant en cuivre jaune pourvu d'un disque de cuivre rouge placé à l'intersection des branches de la croix. Cette pièce est un exemple très parlant de ce que l'on appelle "l'artisanat des tranchées", ces objets usuels fabriqués par les soldats à partir d'objets militaires détournés de leur usage, ou bien simplement gravés de motifs divers (ou de noms de batailles), lors des temps d'attente et de repos. Outre les douilles d'obus décorées, les assiettes décoratives, les briquets, les boîtes à tabac, les bagues, gardés comme porte-bonheur ou envoyés dans leurs familles comme souvenirs, les soldats ont également confectionné de superbes crucifix, utilisés sur le front où la mort était omniprésente.

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Dans le parcours permanent du musée d'art sacré du Gard, dans une salle consacrée aux textiles liturgiques, est présentée cette dalmatique des années 1690-1700. Le vêtement est en soie, brodé de fils de soie polychromes et de fils métalliques, formant un décor de motifs végétaux, de feuilles et de fleurs aux couleurs chatoyantes. La dalmatique est le vêtement de choeur des diacres, dont la couleur varie en fonction du temps liturgique. Elle est portée sur l'aube lors de la messe, des processions et des vêpres. Le diacre, qui a reçu le sacrement de l'ordre au premier degré, n'est pas un laïc. La dalmatique qu'il porte symbolise sa fonction de serviteur à l'autel : il représente le Christ-Serviteur.

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#Conférence "Un petit autel à offrandes de Bali" Dimanche 6 novembre 2016, à 10h30 Salle de conférence de la Conservation des musées du Gard Entrée gratuite dans la limite des places disponibles Plus d'infos sur : http://www.musees.gard.fr/zoomer-sur-lactualite/les-conferences.html

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#Acquisition Le musée d'art sacré du Gard a récemment acquis cette magnifique tête de couvercle de sarcophage égyptien en bois de l'époque Saïte. Cette tête en bois sculptée était à l'origine stuquée et peinte et probablement rapportée sur un cercueil momiforme. Les yeux sont esquissés en faible relief, ssous des arcades sourcilières plus marquées s'étirant jusqu'aux oreilles stylisées et placées très haut. Le nez fin, long et régulier se termine par deux narines profondes. L'objet, lié au contexte funéraire, témoigne d'un retour à un style classique et équilibré semblable à celui de l'Ancien Empire. C'est l'un des traits caractéristiques du style de l'époque Saïte, considérée comme une "Renaissance" de l'art égyptien.