AYARI Samir avocat
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AYARI avocat conseil, défense, informations juridiques, représentation et assistance des personnes devant toutes les juridictions,
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Hommage à ma Consœur Suisse qui malgré son handicap défend nos valeurs que sous cette robe nous sommes tous égaux
Diplômé en juin 2009, je prêtais serment le 20 janvier 2011 devant la Cour de Cassation de et à Luxembourg "Je jure comme avocat d'exercer mes fonctions avec dignité, conscience, indépendance, probité et humanité". 7 années a vos côtés a vous assister, vous défendre, vous conseiller. 7 années d’une passion dévorante qui reste encore à ce jour intacte. Merci à vous pour toute la confiance dont vous me faites preuve au quotidien. Votre Bien Dévoué. Me Samir AYARI
Maître AYARI à La Défense journal l’Alsace du 19/01/2018 De la soustraction de mineur ou du rapt de séduction
Journal l’Alsace du 16/01/2018 Me AYARI à La Défense dans le cadre d’un vaste réseau de proxénétisme sur MULHOUSE
Je défends l'homme le plus détesté de Mulhouse, les droits de la défense et la présomption d'innocence prennent tous leurs sens
Maitre Ayari à l'assistance des prévenus gav télé l'enquête sur c8
Délinquance mineurs retrouvez Maître AYARI. Sur c8
Maître AYARI à la défense Journal L'Alsace 19/04/2017 Faux viol, un honneur à laver et coups de « décapsuleur » Mais pourquoi un jeune homme, sans histoire, a donné deux coups de « décapsuleur » - ou plutôt de la petite lame de cet ustensile de cuisine - à un homme tranquillement installé dans sa voiture, dans la nuit de samedi à dimanche, dans une rue du centre-ville mulhousien ? Hier, pendant les premiers instants de cette affaire jugée en comparution immédiate au tribunal correctionnel de Mulhouse, il était difficile de comprendre les motivations du prévenu. Dimanche, vers 2 h 30, un homme se présente aux urgences avec deux belles blessures à l’arme blanche à l’abdomen et aux lombaires. Vu la localisation de celles-ci, cela aurait pu être dramatique. Il aurait été agressé avec un couteau par un inconnu. Des policiers recueillent ses déclarations en espérant que la vidéosurveillance de la Ville permette d’en savoir plus. Dans la matinée, vers 10 h, un homme se présente au commissariat et raconte qu’il a été violenté… dans le même secteur. Il se trouve que cet homme est celui qui a blessé à l’arme blanche le premier. « Nul ne peut se faire justice soi-même » Les images, filmées par les caméras de la Ville, montrent que cet individu s’est d’abord dirigé vers la voiture de la victime. A suivi une longue altercation. La victime a alors commencé à étrangler le prévenu qui a sorti de sa poche un objet. Un couteau ? « Non, un décapsuleur », martèle à la barre ce jeune homme. « On ne va pas tourner autour du pot, s’emporte le président de l’audience, Marc Boehrer. Vous travaillez dans la restauration et vous aviez un limonadier en poche. Sur un limonadier, il y a un décapsuleur, un tire-bouchon et… » « Une petite lame », concède le prévenu. « C’est donc un couteau ! », conclut le président. Tout devient limpide : le prévenu a vécu une histoire de cœur avec la sœur de la victime. En octobre 2016, cette jeune femme porte plainte pour… viol. Le prévenu fait 48 heures de garde à vue. Il jure qu’il ne lui a rien fait, à part l’avoir quittée. Il est relâché et l’enquête se poursuit. La famille de la victime lui aurait alors fait vivre « un cauchemar », d’après son avocat, Me Samir Ayari : « Expédition punitive par des hommes armés de battes de baseball ; harcèlement permanent avec à chaque fois un frère qui le suivait quand il allait au travail, un cousin qui le suivait quand il rentrait, un oncle qui le menaçait ouvertement… » Finalement, l’affaire de viol a été classée sans suite. Et une nouvelle fois, dans la nuit de samedi à dimanche, le frère de l’ex l’attendait devant chez lui. « Je suis allé le voir en lui demandant une fois pour toutes de me laisser tranquille » , raconte-t-il à la barre. La discussion a dégénéré et comme il est beaucoup moins fort que la victime - « un vrai boxeur musclé » selon son avocat -, il s’est dégagé en le « piquant » deux fois, « mais je ne voulais pas lui faire de mal ». « Nul ne peut se faire justice soi-même, lance la représentante du parquet. Encore moins en portant des coups de couteau. » « On l’a accusé de viol, on lui a mis la pression, on l’a menacé, je comprends qu’il était à bout, remarque Me Ayari. Il y a eu ces deux coups de “décapsuleur”, mais c’était de la légitime défense. » Alors qu’une peine de prison ferme avait été demandée, ce jeune homme au casier judiciaire jusqu’alors vierge a écopé de douze mois de prison, totalement assorti d’un sursis et d’une mise à l’épreuve. Il ne devrait plus jamais rentrer en contact avec la victime et avec les membres de sa famille.