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CHEZ FAON FOU

2, rue de la Poste, Miribel-les-Échelles, France
French Restaurant

Description

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Restaurant familial depuis 35 ans!Rendez vous incontournable de la Gastronomie Dauphinoise!Claudie, Daniel et Raphaël COMBA seront heureux de vous accueillir chez eux à MIRIBEL LES ECHELLES pour ravir les papilles des plus gourmands.... Le restaurant est ouvert tous les jours midi et soir du 15 Juillet au 20 Août.
A partir du 20 Aôut; ouverture tous les jours à midi...Nous contacter pour les soirées en dehors du vendredi; samedi et Dimanche.
Ouverture à 8h30 pour le café! Accueil des clients jusqu'à 20h30 pas au delà!!!!
Le reste de l'année de Septembre à Juin: ouverture le midi du Lundi au Dimanche sauf le mercredi  et les vendredis, samedis et dimanches soirs.
Nous accueillons jusqu'à 14h00 pour le service du midi et 20h30 pour celui du soir.
Le restaurant est fermé du 15 Janvier au 10 Février; du 20 au 30 Juin et du 20 au 30 Septembre.
Depuis 1977, Claudie et Daniel COMBA ont fait des 3 Biches restaurant convivial;un endroit incontournable de la Gastronomie Dauphinoise dans un esprit d'humilité et de simplicité privilégiant l'accueil du client!Ici, on travaille en famille: Raphaël; le fils et Claudie s'occupent de la salle et du service ; quant à Daniel; il distille son savoir faire aux fourneaux pour régaler les clients.
Les 3 Biches, c'est un peu une institution;car l'établissement existe au coeur du village sur la place de l'Eglise depuis 1670!Commerces, boulangerie,et enfin auberges se sont succédés dans les murs du restaurant qui sont chargés d'histoire......

POURQUOI LES 3 BICHES?
L'ancien propriétaire Mr Albert RAVET avait tué trois Biches lors d'une partie de Chasse en Lorraine d'où était originaire son épouse Thérèse!Les 3 Têtes de Biches étaient exposées au fond de la salle...C'est en voyant ces trophées de chasse qu'un client LYONNAIS suggéra un jour à Albert de changer l'appelation de son établissement "Hotel-Restaurant de la Place" en "Hôtel-Restaurant les 3 Biches"...Cela fait depuis 1958 que l'appelation est conservée, voilà pour l'histoire des 3 Biches!

Il y en a pour tous les budgets aux 3 Biches, nous vous proposons des menus de 12,50 € à 32,50 € +La Carte.
Parmi nos spécialités: Ravioles d'Escargots Forestière, Saumon mariné à l'Aneth; Foie Gras de Canard Maison et Terrine de Pintade; Civet de Biche à l'Automne; Chevreau aux Morilles au Printemps; Quasi de Veau Crème de Morilles; Magret de Canard à la crème d'échalotes; Filet de Truite aux Ravioles; Gratin de Queues de Langoustines et Crevettes;Queues de Langoustes sauce américaine; Boeuf Braisé à l'Ancienne; Pain d'Epice Moelleux maison,Omelette Norvégienne; Glace Chartreuse.; etc....Le reste est à découvrir sur place!!!

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Salut @tous!!! Les années se suivent mais ne se ressemblent pas .... Petite replongée il y a 4 ans, lorsqu'un 28 Octobre; fait assez extraordinaire; l'hiver et la neige étaient déjà là ! Bonne fin d'après-midi à tous! Excellent week-end ! Plein de bisous 😘😘😘😘😘😘 Votre Faon Fou

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Bonsoir @tous!!! Comme promis, la seconde partie de mon récit d'un défi certes inachevé mais l'essentiel n'est-il pas d'avoir essayé et de n'avoir pas abandonné ? Retour sur les presque derniers 30 km de mon Endurance Trail entre le Rozier et St-André de Vezines ! Bonne lecture et n'oubliez pas de relire l'épisode 1 sous vous l'avez manqué dans la dernière publi ! Bon appétit suivi d'une douce et belle soirée ! Plein de bisous 😘😘😘😘😘😘😘 Votre Faon Fou Mon Récit de l'Endurance Trail des Templiers . Episode 2 De Mostuejouls à St-André de Vezines ( 10h18- 16h44, 6h26 de course pour 28,5 km) Un ciel d'azur triomphait au dessus de nos têtes et d'une nature en fête puisque colorée par l'automne qui avait déjà pas mal incendié les forêts et leur immensité. Mais comme chez nous, la sécheresse des mois derniers enlevait un peu de majesté enchanteresse aux décors multicolores de cette époque de l'année. L'éblouissement fut tout de même au rendez-vous, et grâce à lui, la rudesse du défi parvenait de manière éphémère à tomber dans l'oubli ! Je m'attaquais à la plus facile et plus petite partie de Mostuejouls au Rozier. Laquelle allait faire basculer les concurrents dans un autre département, celui de la Lozère. Seulement 9,5 km me séparait de ce point prochain que j'ai rejoint en un peu moins de 2h. Un bout de parcours plus réduit qui ne s'est pourtant pas déroulé que dans la douceur comme les précédents. Quelques instants suivant le second ravitaillement officiel, toujours sur Mostuejouls, un autre d'un genre plus particulier et venant d'une initiative plus personnelle de la part de deux dames sympathiques, vint nous recharger de courage pour l'abordage d'un autre morceau de ce challenge diabolique ! En fait, deux membres du célèbre groupe "Trail entre Elles", attendaient les traileurs au sommet d'une petite côte pour leur donner un peu de douceur. Habillées un peu de façon clownesque, elles avaient eu l'idée d'apporter un peu de soutien avec un "Ravito Bisous "..... Et croyez moi que ce témoignage gratuit de sympathie fut apprécié car chacun en a besoin pour continuer à s'accrocher, à avancer, et surtout estomper la dureté de ce périple complètement fou. Un peu de tendresse avant la détresse même si j'avoue ne l'avoir pas connue pour le coup. En tout cas je me souviendrai de ce moment, d'un geste formidable purement inoubliable. Après des passages dans des villages semblant appartenir à un autre temps; une grosse difficulté allait intervenir, la plus ardue de ma journée avec une bonne prise d'élévation offrant de belles vues à contempler. Une ascension qui nécessita une bonne dose de persévérance de par sa longueur sur un sentier pierreux et rocailleux qui pouvait faire surgir une pointe de découragement à la vue des concurrents de devant, indiquant le cheminement vers un nouveau point culminant ! Grandiose et magnificence paysagère de nouveau s'invitèrent durant cette grimpée d'enfer que j'affrontais plus en avance par rapport à l'an dernier. Ça provoquait en moi une certaine réjouissance, et l'alimentation d'une espérance, celle de la possibilité de pouvoir franchir le ligne d'arrivée même si elle était bien éloignée. Une fois au sommet de cette bosse comme on dit dans le jargon, succédait une configuration géographique qui aux Causses est spécifique, avec de vastes hauts plateaux. La fatigue allant crescendo, il était difficile de relancer et encore moins de mettre le turbo. Je parvenais tout de même à trottiner et à modérément accélérer . Croisant les pompiers postés sur ce point culminant forestier, (ceux ci présents en cas de problèmes ou d'accident), ils sont heureux de nous annoncer notre prochaine arrivée au ravitaillement du Rozier. Reconnaissant l'endroit, je m'apercevais que ce n'était plus très loin effectivement ! La descente était longue mais "roulante"... Idéalement adaptée à un regain de vélocité. Elle me faisait penser à Sébastien Pampanay que je dépassais à peu près au même endroit l'an dernier mais qui n'a pas retenté cette plus grande course des Templiers. Juste avant d'atteindre l'embranchement avec la route, je croise un concurrent avançant à cloche pied, prenant le temps de lui dire que nous serions bientôt au Rozier. Pour lui, la course y serait de toute façon terminée. Il avait l'air cependant méchamment blessé. Une fois la grand route rejointe au sortir d'un hameau, c'est sur un pont que nous devions courir pour regagner un peu plus haut, un peu plus loin; et surtout enfin; le 3eme ravito . De quelques minutes, midi est dépassé quand se présente cette pause bien méritée. Passants et spectateurs sont plus nombreux à cette heure, et continuent de nous exprimer des encouragements, plein de sincérité et de ferveur qui font si chaud au coeur.... Le Ravito a lieu dans la salle des fêtes, comme les précédents, alors qu'ils sont généralement en plein air, habituellement. Celui du Rozier semble un peu plus abondant. Enfin, il faut le dire vite! On nous propose de la soupe.... Deux fois j'en ai pris, me rappelant que me l'avait suggéré mon amie Florence Delacroix pour combler, un appétit qui s'était creusé, j'avais surtout envie de salé. Quelques Tucs (en miettes) viendront compléter ainsi que plusieurs morceaux de pain d'épices et un lait de soja chocolaté. J'en profite pour me désaltérer d'un ou deux verres de coca et termine par l'ingestion d'une gourde Overstim de pâtes à la Tomate que j'ai grandement appréciée avant de prendre un thé qu'il ne fut pas facile de sucrer.... (Les concurrents d'avant avaient tout raflé) ! Je reconnais le visage de certains bénévoles présents l'an dernier et constate que je me trouve dans un état physique et psychique situé à l'opposé; je ne me sens pas du tout épuisé et même incroyablement bien. Un monsieur très sympa avec un béret et une barbe que j'ai décidé de baptiser " le pépé du Rozier" me conseilla de bien m'alimenter car la suite allait être corsée. Pas de souci concernant cela, je m'étais bien rechargé et j'étais prêt à redevenir un vaillant soldat pour quelques heures durant et me jeter dans un combat dont je n'allais hélas pas sortir triomphant. À 12h28, je suis donc reparti, soit avec 47 minutes de gagnées par rapport à l'année dernière. Comme précédemment annoncé nous étions dans le département de la Lozère. Bien qu'ardent, le soleil ne parviendra pas vraiment à réchauffer l'atmosphère. La course se poursuit en trottinant le long d'un paisible cours d'eau, remonte dans les rues du village et s'engage sur un sentier qui va permettre de se hisser de plusieurs étages. Il convenait donc de s'armer de courage. Mon esprit parcouru de flashs de ma dernière participation y revoit une nouvelle fois Sébastien Pampanay qui lâcha un peu plus haut que cet endroit. Je me décidais d'ôter la veste et les gants, car j'allais ne plus les supporter très longtemps sous le bombardement solaire puissant et régnant au dessus d'une grimpée d'enfer. Celle-ci très rapidement m'emmenait au coeur des Grands Causses et de leur atmosphère extraordinaire. En 2015, c'est avec le Serre-file que nous arpentions ces sentiers, en compagnie d'Arnaud Haudrechy ainsi que de deux autres naufragés. Ce ne fut pas le cas cette année car une petite avance sur le timing fut marquée mais il ne fallait pas traîner. La cadence cependant se voyait diminuée car ça grimpait plutôt fort, demandant aux efforts d'être décuplés. Les bâtons donc étaient de précieux alliés pour braver ces difficultés ascensionnelles et favorisaient une belle progression dans cet univers sensationnel dont la somptuosité m'a époustouflé. C'est dans ce secteur préservé que les vautours y ont fait leur repaire, j'en ai d'ailleurs vu quelques un, tournoyer dans les airs . L'évolution s'effectue face à de gros monolithes de pierres, des tiges géantes en forme de flèches sagittales orientées vers le ciel et dominant précipices et gorges spectaculaires. Il convient d'être vigilant à l'approche de certains secteurs exposés et un peu accidentés. L'épopée qui se poursuivait au milieu de résineux odoriférants faisant penser à la Méditerranée et dans un environnement émerveillant mes yeux, prit à partir d'un moment, un caractère de plus en plus montagneux. Je longeais parfois des flancs rocheux jusqu'à ce passage fameux qui n'a rien de périlleux mais qui nécessite d'y mettre les mains. En effet, c'était la fameuse faille dans laquelle il fallait s'engager en crapahutant, en se cramponnant mais qui ne présente pas de danger particulier si ce n'est qu'elle a pour conséquence de rendre l'effort dix fois plus intense et de diminuer hautement la cadence. C'est avant celle-ci que les choses se sont pour moi compliquées et qu'un incident s'est produit. Alors que je montais tranquillement, un de mes bâtons s'est disloqué et une de ses extrémités est tombée. Impossible de le réparer, il s'est rompu de l'intérieur et je ne pouvais même pas le replier. Je décide alors de le garder à la main avec le second et de poursuivre sans, ce qui allait me handicaper lors des prochaines ascensions. En ayant fini temporairement avec la prise de hauteur, un belvédère impressionnant et vertigineux sur le Truel et ses environs dévoile un point de vue tout en splendeur sur des abîmes et des gorges plongeant abruptement. C'est tout simplement fabuleux. Je m'arrête pour prendre quelques photos et me remets au galop, abordant sereinement la descente permettant un bel enchaînement de grandes enjambées et une reprise d'élan. Nous y avons croisé de nombreux randonneurs n'hésitant pas à nous encourager gentiment et à nous soutenir. Bien qu'elle fut longue en accusant une bonne perte de dénivelé, la descente ne me fit aucunement souffrir et se déroula sans difficultés. Se déployant en lacets assez larges elle dégringolait dans les gorges précédemment relatées et se poursuivait sur la départementale où un autre participant m'y rejoignait. Il était possible encore de réaccélérer et c'est ce que nous avons fait jusqu'au petit village isolé du Truel où ma course des Templiers s'était arrêtée l'an dernier. J'en profitais pour jeter mon bâton cassé dans un container, mais n'en trouvais point pour le remplacer. La suite s'annonçait galère et ça l'a été ! Il était exactement 14h14 quand j'ai été bipé. Ce nouveau Check point validé me donnait le droit de continuer mais hélas plus pour très longtemps. Sans le savoir, s'entamait la fin de ma course. J'allais ainsi continuer pendant une heure et demie jusqu'au prochain point et barrière horaire un peu difficilement mais surtout pas assez vaillant et rapide pour assurer brillamment la suite de ce défi d'enfer ! Du Truel, il fallait rebasculer de l'autre côté, en descendant tout d'abord via de très nombreux escaliers près d'un cours d'eau enjambé par un pont, amorce de la dernière mais assez éprouvante ascension. Les marches d'escalier ont un peu plus martyrisé mes articulations mais la souffrance allait se faire ressentir cette fois ci lors de la phase d'ascension, puisque je ne disposais plus de mes bâtons pour en affronter la rudesse et la difficulté. Très vite, j'ai senti fatigue et épuisement m'envahir, augmenter, accédant à un état de faiblesse, sans pour autant être dans la détresse, mais j'étais certainement en grande perte de vitesse. Malgré ça, j'avais décidé de ne rien lâcher, de me cramponner, de m'accrocher; j'étais plus que déterminé alors que le temps semblait plus rapidement s'égrener que mon avancée. Une fois sur un plateau où certains avaient visiblement encore du jus pour se réactiver, moi je n'y arrivais plus vraiment, si ce n'est que par moments. Je me souviens avoir eu besoin de me recouvrir et de remettre mes gants, pour stopper la perte d'énergie liée à la lutte contre le refroidissement. Avoir plus chaud me redonna un soupçon de carburant. J'insérais quelques trottinements dans une marche tout de même bien appuyée qui me fit revenir sur d'autres concurrents qui furent même dépassés ! Je m'approchais donc doucement mais sûrement du dernier point de ravitaillement situé au sommet d'une bosse, malgré la phrase que n'aurait jamais dû prononcer une bénévole qui en avait probablement marre de stationner depuis de longues heures. À une Traileuse située devant moi qui lui demanda si St-André de Vezines était bientôt là, celle ci lui répondit : "2km! A ce rythme là, c'est sûr vous n'êtes pas prêts d'y arriver !" On aura tout vu et tout entendu décidément sur ces Templiers, entre les ravitaillements plus qu'ultra légers et des bénévoles "hyper doués" et savant trouver les mots qu'il faut pour nous encourager ! La vue de quelques habitations vint me réconforter et me signaler que je serai bientôt arrivé à destination. Plus que quelques minutes suffisaient pour accéder à un dénouement que j'ignorais car il n'était pas question d'abandonner quand j'ai été bipe mais peu de choses m'ont poussé à rendre le dossard et à renoncer. Soulagé j'étais donc d'avoir franchi une nouvelle étape à 14 minutes de la fermeture de la barrière horaire. 63 km avaient été avalés en un peu plus de 12h, depuis que la course avait commencé. Je ressentais quand même le besoin de me reposer et de m'alimenter un peu, mais là encore, ce qui était proposé était bien succinct pour combler ma petite faim. Bien que désaltéré de quelques verres de St-Yorre, coca et de boisson Ergysport et donc rechargé; le fait de m'être arrêté même pas trop longtemps, me fit éprouver une sensation de brutal refroidissement ! J'étais soudainement tétanisé et transis de froid. Je me suis mis à trembloter. Rien d'effrayant mais ça m'a fait soudainement réfléchir à l'idée de repartir. La prochaine barrière horaire était au km 75 soit 12 km plus loin et il ne serait pas évident voire impossible d'y parvenir à temps . Et après celle là, il y avait une autre à choper 15,5 km plus loin et fixée à 22h35. Ça signifiait également concrètement qu'il me faudrait affronter la nuit de nouveau très longuement pendant une durée supérieure à celle où nous avons défié l'obscurité entre le moment où la course a débuté et où le jour s'est levé. En songeant à tous ces paramètres, m'apercevais que je ne serai pas suffisamment armé. Un bénévole me conseilla d'arrêter et la raison l'emporta sur la folie de vouloir coûte que coûte donner continuité à ce défi. Je n'éprouvais sincèrement aucune déception ni amertume, presque content d'être ainsi libéré et délivré voire même satisfait d'en avoir fait un peu plus que l'an dernier sur cet Endurance Trail des Templiers. Beaucoup de naufragés exténués et épuisés comme moi sont donc montés à bord d'un bus qui nous a ramenés au domaine St-Esteve de Millau; d'où la course s'était élancée et où les premiers étaient déjà depuis très longtemps arrivés. Le trajet en car, m'a paru très long, le chauffeur conduisait très brusquement et ça n'a pas arrangé l'état chancelant et nauséeux de la plupart des malheureux participants. Un peu comme un zombie anéanti, je me suis réfugié à l'intérieur du salon où régnait un certain mouvement effervescent puis je suis allé dans la tente des Kines et sans m'y attendre, j'allais y rencontrer Seb Leroy (ami FB) qui allait me permettre d'entamer divinement ma récupération avec l'application de son système Life+ Sport Device. Je ne souhaite pas rentrer dans les explications techniques du système mais il s'agit d'une innovation et d'une géniale invention pour la récupération et j'avoue avoir été convaincu par l'efficacité et le bienfait de ce soin dont j'ai bénéficié. Alors que je m'apprêtais à m'en aller après avoir été bichonne par le système réparateur de Sébastien, je fus content de revoir un traileur que j'apprécie bien et que je suis fidèlement depuis plus d'un an; mon copain Laurent Desmet. Lui aussi courait l'Endurance Trail où il s'est révélé plus que brillant puisqu'il a mis moins de 14h pour le boucler ! Une performance exceptionnelle qui fait rêver mais venant de ce sportif aguerri et accompli, je ne suis point étonné. Lui aussi qui venait tout fraîchement de passer la ligne d'arrivée eut droit à ce traitement de faveur et il l'avait bien mérité! Quelques instants plus tard, c'est une autre amie très chère rencontrée aux 80 km du Mont-Blanc qui accédait au suprême dénouement . Ma Flo ( Florence Delacroix) était sacrée Finisher mais de l'Integrale des Causses (63 km) . Le speaker venait tout juste de l'annoncer au micro. Je l'ai immédiatement appelé pour la féliciter. Lui laissant le temps qu'il faut pour savourer son arrivée, je l'ai attendu en bas donc au salon, car c'est un peu plus haut que les coureurs qui ont le bonheur de terminer, connaissent la consécration. J'ai donc retrouvé cette heureuse médaillée, malheureuse des 80 du Mont-Blanc; presque 4 mois après ce samedi de fin juin où nous nous étions quitté après avoir longuement discuté à Chamonix . Nous avons fait de même jusqu'à la nuit tombée et c'est elle qui eu la gentillesse cette année de me ramener à l'hôtel auquel je ne me sentais pas de retourner à pied. Nous nous sommes dit au revoir et donné peut être rendez-vous à la SainteLyon. Rendez vous que je peux désormais à présent confirmer. Ce n'est que le lendemain après midi que je m'en suis retourné en train dans mes alpines contrées, extrêmement fatigué et déçu de n'avoir pas ramené de médaille mais avec dans le coeur des rêves étincelants dans lesquels je me suis vu Finisher . Il y aura d'autres fois où ces longues heures d'entraînements réalisées avec détermination, ténacité, abnégation se verront récompensées . D'ailleurs l'entraînement reprendra très prochainement après une récupération nécessaire pour recharger corps et esprit durant laquelle je vais songer à d'autres prochains défis . Je vous tiendrai évidemment au courant ! En attendant prenez soin de vous et distribuer tout le bonheur autour de vous pour un monde meilleur. Plein de bisous ! 😘😘😘😘😘😘😘😘 Ciao, ciao &@ très très bientôt ! Votre Faon Fou

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