Fédération Française de Volley
Description
Retrouvez et partagez toutes les infos Volley sur la page officielle de la Fédération Française de Volley-Ball. La FFVB organise, développe et contrôle la pratique du Volley-Ball et du Beach Volley en France dans le respect de l’éthique, la solidarité et la convivialité.
Elle organise les compétitions Internationales (matches des équipes de France) et les compétitions nationales (championnats, coupe de france) dans toutes les catégories d’âges.
Elle développe en parallèle des opérations de promotion, d’initiation et de détection solidaires et citoyennes pour tout type de public. Elle veille à la mise en œuvre d’un programme de formation et de structuration en capacité de répondre aux nouvelles pratiques : Sport Loisir, Sport Santé , Sport Bien Etre.
La FFVB a délégué aux 13 ligues et 84 comités l’organisation des compétitions régionales et départementales. Elle est présidée par Eric Tanguy depuis septembre 2015.
Elle recense 134 000 licenciés dans 1424 clubs dont 35 professionnels (gérés par la Ligue Nationale de Volley)
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Encore une belle histoire de famille autour du volley-ball !
#CDFVolley masculine : Chaumont Volley-Ball 52 Haute-Marne et TLMVolley veulent une première Coupe samedi 10 mars - 20h30 La finale de la Coupe de France masculine oppose samedi 10 mars au stade Pierre-de-Coubertin Chaumont à Tourcoing. Deux formations qui n’ont jamais inscrit l'épreuve à leur palmarès, malgré six tentatives pour le club nordiste. Pour la troisième année consécutive, la finale de la Coupe de France proposera une affiche inédite entre deux formations qui auront l’occasion de remporter la compétition pour la première fois de leur histoire : vainqueur en demi-finale de Nantes (3-0), Chaumont dispute sa toute première finale de Coupe, tandis que pour Tourcoing, qui a été battre Poitiers en demi-finale (3-2), ce sera sa septième, les six précédentes ayant été... toutes perdues (1998, 1999, 2002, 2005, 2007, 2009) ! Dans les rangs du club nordiste, on espère bien évidemment vaincre une malédiction qui n’a que trop duré, même si, pour enlever la pression à ses joueurs et à son staff, le président Vincent Royer tente de faire fi de ce contexte historique défavorable : "C’est vrai que par le passé, il est arrivé à Tourcoing d’aller en finale et de ne pas gagner, mais moi, ce que je sais, c’est qu’en tant que président, j’ai gagné les deux finales sur lesquelles je me suis présenté ! Donc, même si ce ne sont pas les mêmes compétitions, que c’étaient deux finales de Ligue B, moins prestigieuses que la Coupe de France, on ne peut plus dire que Tourcoing perd en finale. Le chat noir est derrière nous, on ne se dit pas que c’est une énième finale à perdre, on se dit que c’est une nouvelle finale à gagner !" Une finale à gagner pour un club qui, après deux ans en Ligue B, a bien négocié son retour dans l’élite, assuré de jouer les playoffs en Ligue A au printemps, ce qui était l’objectif affiché en début de saison, et donc qualifié pour la finale de la Coupe. Ce qui fait dire au président nordiste que "le TLM est en avance sur ses objectifs", qui, au moment de remonter en Ligue A, étaient "de retrouver l’Europe à horizon 2020". Une victoire en Coupe de France de la formation dirigée depuis la saison dernière par le Croate Igor Juricic et emmenée par le pointu cubain Ronald Jimenez, l’attaquant estonien Martti Juhkami et l’expérimenté libero Julien Lemay, permettrait effectivement à Tourcoing de renouer avec l’Europe plus vite que prévu et serait surtout une belle consécration et un premier « vrai » titre pour un club sacré deux fois en Ligue B, mais qui, en neuf finales (trois en Championnat, six en Coupe), n’a jamais touché le Graal… Reste à passer l’obstacle Chaumont, ce qui n’a rien d’évident, tant le champion de France semble sûr de sa force cette saison. Sous la houlette de Silvano Prandi, l’équipe champenoise a réussi l’exploit le 28 février de se qualifier pour les playoffs de la Ligue des champions pour sa première participation à la reine des compétitions européennes, elle est par ailleurs en course pour l’une des deux premières places en Ligue A (qui donne l’avantage du terrain en playoffs jusqu’à la finale) et donc de retour à Coubertin, moins d’un an après son historique titre de champion, pour une première finale de Coupe. "C’est assez remarquable, parce que le calendrier est hyper chargé, nous avons eu des semaines où nous nous entraînions plus trop à cause des déplacements, et malgré tout, l’équipe garde un niveau honorable", se félicite le réceptionneur-attaquant français Yacine Louati, l’un des fers de lance du CVB 52 avec le pointu de l’équipe de France Stephen Boyer, le central Jonas Aguenier, de retour à un très bon niveau après une année de blessures, et le passeur cubain Javier Gonzalez. Vainqueur à deux reprises de Tourcoing cette saison en Championnat, Chaumont se présente indiscutablement à Paris dans la peau du favori, mais dans les rangs nordistes, on veut croire à l’exploit : "Sur le papier, Chaumont est favori, mais dans le cadre d’une finale, sur un match, on remet les compteurs à zéro, c’est du 50/50, tout est possible", conclut Vincent Royer.
#CDFVolley féminine : Une finale idéale ! Béziers Angels vs RC Cannes Volley-Ball Samedi 10 mars - 17h30 La finale de la Coupe de France féminine oppose les deux équipes qui, depuis le début de la saison, font la course en tête en Ligue A, Béziers et Cannes. Déjà finaliste il y a un an, Béziers tentera de décrocher un premier titre, tandis que le Racing visera une… vingtième couronne ! Si l’affiche de la finale féminine de la Coupe de France est, comme chez les garçons, inédite, elle ne surprendra guère les observateurs : Béziers et Cannes occupent en effet les deux premières places de la Ligue A depuis plusieurs semaines et devraient les conserver à l’issue de la saison régulière, ce qui leur donnera l’avantage du terrain en playoffs. En attendant de penser au sprint final en Championnat, c’est donc une belle finale de Coupe qui les attend ce 10 mars à Paris, match qui s’annonce particulièrement indécis entre deux équipes très proches l'une de l'autre. D’un côté, Béziers qui, un an après la première finale de Coupe de France de son histoire (défaite face à Venelles), est de retour à Coubertin, avec une équipe en grande partie renouvelée, désormais emmenée par la jeune attaquante tricolore Juliette Fidon, qui a su prendre la relève d’Helena Cazaute, partie l’été dernier à… Cannes, la pointue américaine Krystal Rivers, meilleure marqueuse de Ligue A, ses compatriotes Amber Rolfzen et Janisa Johnson, et la passeuse slovène Eva Mori. Ce qui fait la force de la formation héraultaise qui, saison après saison, s’affirme comme une place forte du volley français et rêve d’un premier trophée national ? "Son mental à toute épreuve, répond son entraîneur Cyril Ong. Quelles que soient les conditions, on arrive souvent à se sortir de situations assez complexes, on ne lâche jamais rien, parce que l’ensemble des joueuses a envie de performer et de gagner. C’est un peu l’ADN de cette équipe et c’est sans doute grâce à ça qu’on arrive à aller au bout des choses. En tout cas jusqu’à maintenant, parce que le plus intéressant arrive maintenant ». Le plus intéressant arrive donc le 10 mars avec cet affrontement face à une équipe de Cannes que les Angels ont battue deux fois cette saison en Championnat, mais qui semble bien décidée à redevenir la machine à gagner qu’elle a été pendant vingt ans, avec, à partir du milieu des années 90, 20 titres de champion de France et 19 victoires en Coupe (sur 23 finales) ! Ces deux dernières saisons, le Racing marchait presque à l’ordinaire (une Coupe gagnée contre Nantes en 2016, aucun titre de champion), d’où le renouvellement opéré au club l’été 2017, avec l’arrivée aux commandes de l’équipe de l’Italien Riccardo Marchesi et un groupe qui, déjà fort de joueuses confirmées comme Myriam Kloster et Nadiia Kodola, a vu débarquer la centrale des Bleues, Christina Bauer, une Helena Cazaute qui a fini de soigner sa blessure au genou, mais également la centrale belge Angie Bland et la expérimentée Italienne Nadia Centoni, de retour sur la Côte d’Azur, après trois saisons en Turquie. Une Nadia Centoni qui se réjouit de retrouver Coubertin et le parfum si particulier des finales : "C’est notre métier de jouer des matchs comme ça, ce sont des moments qu’on aime bien. Jusqu’ici, je suis super contente de notre parcours, nous sommes à la lutte avec Béziers en Championnat et nous sommes en finale de la Coupe. Maintenant, nous n’avons rien gagné, il nous manque le plus beau". Le plus beau commencerait par une victoire samedi face à une formation biterroise que la Transalpine redoute : "C’est une équipe super forte, nous avons perdu deux fois contre elle, on sera donc très méfiantes et on va chercher à bien préparer cette finale, en essayant de bien analyser les défauts que nous avons eus sur ces deux matchs pour ne pas les répéter. En même temps, une finale est un match à part, où tout peut arriver, tu peux gagner 3-0 comme perdre 3-0, ça peut aussi être un match 3-2 interminable, chaque finale est une histoire particulière". L’histoire de la finale 2017 avait été marquée par le succès inattendu de Venelles sur Béziers (3-2), qu’en sera-t-il de celle de cette édition 2018 ? Réponse le 10 mars vers 20h…
CDF-Finales amateurs : un axe Nord-Sud Les finales amateurs ouvrent le bal des finales de la Coupe de France samedi à Coubertin, avec deux affrontements indécis en perspective, entre Mougins et Marcq-en-Baroeul chez les filles, Saint-Jean-d’Illac et Amiens chez les garçons. 12h Finale amateurs féminine : Mougins/Marcq-en-Baroeul C’est une finale entre habitués de la Coupe de France fédérale qui ouvrira le bal à Coubertin. Mougins, vainqueur du trophée en 2016, finaliste malheureux en 2015, mais aussi demi-finaliste la saison dernière de la « grande » Coupe de France, celle des professionnelles, affronte Marcq-en-Baroeul, battu l’an passé par Chamalières en finale (3-1). C’est aussi un vrai choc entre les deux équipes qui ont dominé les deux poules d’Elite Féminine et qui sont nettement en tête du groupe de playoffs, donc bien parties pour monter en Ligue AF la saison prochaine. "Je suis ravie que ce soit Marcq en face. Tant qu’à faire, autant que ce soit un vrai challenge contre l’adversaire le plus gros, c’est la plus belle affiche possible", se réjouit Marie Tari, la coach de Mougins, qui a éliminé Monaco (3-1), Istres (3-1) et Nîmes (3-0) pour se hisser en finale. Avec un bilan de 13 victoires pour une seule défaite en saison régulière et un parcours sans faute en Coupe (un seul set concédé en trois matchs contre Saint-Pol, Clamart et Calais), Marcq-en-Baroeul fait en effet figure de gros morceau. "On ne s’attendait pas à être aussi compétitives d’entrée de jeu, confiait récemment l’attaquante internationale des Louves, Kim Nowak, dans La Voix du Nord. Nous avons su enchaîner les victoires contre les grosses écuries. Cette saison, on s’est donné les moyens de tout gagner." Même la Coupe ? Réponse ce samedi 10 mars… 14h30 Finale amateurs masculine : Saint-Jean-d’Illac/Amiens A l’inverse de l’affiche féminine, on aura droit à une finale entre novices pour la Coupe de France fédérale masculine. Avec toutefois un favori qui se dégage, Saint-Jean-d’Illac, qui a survolé son groupe Elite avec 13 victoires (13 fois 3-0 !) pour une seule défaite et qui est allé chercher sa place en finale en battant Martigues chez lui, 15-13 au tie-break. Le club girondin retrouve en finale Amiens, une équipe déjà croisée cette saison en championnat (pour deux victoires de Saint-Jean-d’Illac), qui a sorti en demi-finale le finaliste de l’édition précédente, Conflans-Andrésy-Jouy VB. "On les a joués deux fois, mais la première fois, ils n’étaient pas au complet, sans leurs internationaux camerounais qui étaient à la Coupe d’Afrique des Nations, nuance l’entraîneur de l’ASI Volley, Anisse Guechou, interrogé sur Aquitaine Radio Live. Et au retour, le match avait été serré, même si on avait gagné 3-0. On n’a encore rien gagné." Surtout qu’en face, les Picards, qui ont assuré leur maintien, vont jouer leur va-tout. "La Coupe de France devient notre priorité, confirme le coach Ali Nouaour sur le site amiénois Gazettesports.fr. Je ne sais pas s’il en sera de même pour Illac qui doit se concentrer sur la montée en Ligue B. Nous, en tout cas, on sera prêts. On va s’en donner les moyens avec des matchs amicaux. On a prévu de faire un car ou deux et d’emmener nos licenciés. Ça sera avant tout une fête. Une Coupe, ce serait évidemment l’apothéose".
J-2 Finales #CDFVolley 🏐🏆 Dépêchez vous d'acheter vos places, on a une surprise pour vous ! 🎁 Tirage au sort dans le public samedi à Coubertin pour gagner 2 places pour aller soutenir l'Equipe de France à Rouen et à Aix en Provence pour la #VolleyBallNationsLeague ! 🔵⚪🔴 Billetterie : https://www.billetweb.fr/finales-de-la-coupe-de-france-2018
#BeachWorldTour #KataraBeachVolley2018 Beau parcours pour Youssef Krou & Quincy Ayé victoires importantes contre les Espagnols 10eme et les Belges 11eme mondiaux Ils se classent à une 9eme place prometteuse BRAVO 🇨🇵🐓
#BeachWorldTour #KataraBeachVolley2018 Bon et si je vous dis C'EST BON ÇAAAA 😋 Et oui !!!! Krou/Aye 🇨🇵 vs Koekelkoren/van Walle 🇧🇪 2-0 Et voilà une nouvelle performance et les 1/8eme de finale ALLEZ Youssef et Quincy🐓🇨🇵
Qui connait mieux la Coupe de France chez nos finalistes ? #CDFVolley 🏆🏐 Nos 2 deux internationaux Jonas Aguenier Chaumont Volley-Ball 52 Haute-Marne et Juliette Fidon Béziers Angels ont accepté de jouer le jeu ! merci à eux !