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École Jean-Raimbault

175, Pelletier, Drummondville, Canada
Public School

Description

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En septembre 2015, la population étudiante est de 908 élèves, à peu près également répartis entre les cinq classes du secondaire. En septembre 2014, la population étudiante est de 875 élèves, à peu près également répartis entre les cinq classes du secondaire. De ce nombre, 45% sont en programmes particuliers, dont 19% en musique et 26% en danse; les autres sont inscrits au secondaire régulier ou dans l’un des programmes d’adaptation scolaire suivants : CPF (36 jeunes) ou CPEP (14 élèves).
L’apport de la clientèle des concentrations artistiques (une clientèle sélectionnée à travers toute la Commission scolaire par leurs aptitudes et intérêts plutôt que selon des critères de performance académique) constitue un atout, tant sur les plans culturel que de la réussite scolaire. Depuis 12 ans, son taux de réussite scolaire en fait également l’école secondaire la plus performante de la Commission scolaire, mais cet écart est léger depuis le redécoupage territorial de 2010.
Sur le plan de l’environnement socio-éducatif, une vaste enquête menée en 2010 à travers toutes les écoles de la Commission scolaire par l’Université de Montréal a fait ressortir un portrait exceptionnel quant au sentiment de sécurité et de bien-être dans notre école. Jean-Raimbault ferait partie du 1er rang centile de la province.

L’école Jean-Raimbault présente à des jeunes férus de science pratique l’option GARAF (Groupe d’Aide à la Recherche et à l’Aménagement de la Faune). Né au début des années 2000, ce projet unique en son genre permet à des élèves de tous niveaux de contribuer à la restauration, à la sauvegarde du milieu naturel régional par des actions concrètes : assainissement de plans d’eau, aménagement de rives, de frayères, plantations diverses etc. Récipiendaire de nombreux prix à l’échelle provinciale, GARAF étend ses ramifications partout au Québec par Opération PAGE et travaille en étroite collaboration avec le Ministère des Ressources naturelles, l’Université de Montréal et d’autres partenaires du monde des affaires.
Fait à noter, notre école est la première à la CSDC à avoir adopté un demi-uniforme scolaire.


Organisation pédagogique offerte aux élèves à la persévérance scolaire fragile (PSF) :
L’école compte deux classes de cheminement particulier de formation. Ces classes s’adressent à des jeunes n’ayant pas réussi leurs acquis dans les trois matières de base malgré une consolidation au primaire. Ils ont deux ans de retard;
Les quelque 200 autres élèves à risque appartiennent principalement aux classes régulières;

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Beaucoup de talents dans notre école! Félicitations à vous, les hommes forts! http://www.journalexpress.ca/de-solides-performances-championnat-juvenile/

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http://www.journalexpress.ca/projet-dagrandissement-a-jean-raimbault-cartons/

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Une Semaine de l’amitié avec l’ajout d’une saveur particulière La Semaine de l’amitié est un moment privilégié pour écrire des messages aux élèves et adultes que nous apprécions. Du 8 au 15 février, des cartes de la Persévérance scolaire ont été livrées avec plus de 1 500 cartes de l’amitié. Cette année, des élèves de CPF (Cheminement particulier de formation), avec Manon Rodier, enseignante, ont cuisiné de savoureux cornets sucrés qui ont été remis à une trentaine d’élèves. Une pige parmi toutes les personnes qui ont acheté des cartes de l’amitié a fait bien des heureux! Une saveur de plus à l’implication d’une dizaine d’élèves membres du comité « Semaine de l’amitié », porté par Jacinthe Lebel, animatrice de vie spirituelle et d’engagement communautaire.

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C’est plus de 355 élèves qui ont relevé le défi de la ponctualité et de la présence en classe. Ces élèves méritants ont eu la chance d'assister au spectacle de Marko Métivier, ancien étudiant de Jean-Raimbault. Un merci tout spécial à Julie Boissé, Caroline Labbé, Nancy Deslauriers et Marié-Andrée Jutras, membres honoraires du Comité de persévérance, pour leur dévouement, leur engagement et leur créativité qui ont mené au succès de la semaine de la persévérance scolaire.

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Afin de terminer en beauté la Semaine de la persévérance scolaire, les élèves méritants du programme régulier ont eu le plaisir d’assister au spectacle de l’humoriste Marko Métivier, originaire de Drummondville et ayant fréquenté l’école Jean-Raimbault. Les élèves ont fourni de grands efforts afin d’être parmi les spectateurs. Bravo à vous!

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La semaine du personnel fut soulignée par les élèves du programme de musique. En effet, ces derniers ont formé une fanfare, ont traversé l’école et se sont dirigés vers la salle de travail des enseignants pour jouer un petit air en guise d’appréciation. Un gros merci de la part du personnel de l’école Jean-Raimbault!

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La Semaine de l'amitié se tiendra du 8 au 14 février dans l'école. Adultes et élèves auront l'opportunité d'écrire des messages qui seront distribués par nos cupidons! Pour ce faire, cinq motifs de cartes et de couleurs différentes seront disponibles. Nous profitons de l'occasion pour faire connaître nos gagnantes du concours de dessin : Océanne Campeau (sec. 1), Ophélie Caron (sec. 1), Marianne Cardinal (sec. 2), Marie-Soleil Gélinas (sec. 3) et Rachel Derouin (sec. 5). Celles-ci sont photographiées avec des membres du comité "Semaine de l'amitié", dans le cadre d'un projet d'école en vie spirituelle et en engagement communautaire.

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« Tellement inspirant! » C’est le commentaire qui revenait le plus souvent des élèves de secondaires 4 et 5, et des adultes, qui ont écouté le témoignage de Guillaume sur le thème de la résilience. Guillaume considère qu’il a eu 2 vies. Une première avant l’âge de 15 ans… et après. Suite à une tentative de suicide, il a perdu la vue, ses nerfs optiques ayant été sectionnés. Au moment même de son geste désespéré, il a compris que ce n’était pas mourir qu’il souhaitait plus que tout, mais bien de vivre sa vie différemment. Le « Guillaume d’avant » était malheureux, malgré un contexte familial et un quotidien harmonieux. Aujourd’hui, il peut mettre des mots sur ce qu’il vivait dans sa jeunesse : de l’anxiété sévère. Comme il le décrit si bien, tout changement dans les habitudes, petit et grand, est anxiogène chez les gens vivant une grande anxiété. Dormir ailleurs que chez lui, l’arrivée de nouveaux enseignant(e)s, le changement d’école, et surtout les présentations orales, sont quelques-unes des situations qui faisaient en sorte qu’il vivait un inconfort intérieur à chaque instant de ses journées. Sa seule passion était la lecture. Il n’avait alors aucune idée du métier qu’il voulait faire, aucune activité ou intérêt qui lui donnait envie de se lever le matin. Ce fut si lourd à vivre qu’il a alors fait un mauvais choix à 15 ans, comme il le dit si bien. Par la suite, il a choisi de prendre les moyens pour être heureux et autonome. Outre les apprentissages reliés à sa cécité, il a surtout utilisé des outils afin de mieux gérer son anxiété : visualisation, lectures et écoute audio, activité physique, alimentation. Il a poursuivi ses études jusqu’au niveau universitaire, a suivi des formations en privé, a eu 2 chiens Mira, et a relevé de nombreux défis dont l’ascension du Kilimandjaro avec son frère et étudié une année en France, loin de ses proches. Aujourd’hui, il gère très bien son anxiété grâce à des outils qui l’aident et qu’il choisit de mettre en application. Sa résilience a été déterminée par son désir de vivre pleinement. D’une prestance, d’un calme et d’une grande générosité sur le récit de son vécu, les jeunes ont été captivés par son histoire de vie, ont eu une écoute et un intérêt soutenus. En toute humilité, et de façon réfléchie, Guillaume a su interpeller les jeunes sur les thèmes de l’anxiété, du suicide, des choix, des appréhensions qui sont souvent bien pires que ce qui arrive réellement. Il a entre autres rappelé l’importance d’avoir des passions, et de s’en trouver au besoin. D’essayer différentes activités afin de trouver ce qui nous convient. Car ce sont les passions qui nous donnent l’énergie et le bonheur de se lever le matin, d’avoir une vie riche de sens. Aujourd’hui, à l’aube de la quarantaine, Guillaume est grandement heureux. Il est à son propre compte comme travailleur autonome, avec des projets qui le passionnent, un entourage aimant. Un merveilleux modèle de résilience. Un homme très inspirant.

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Défense des droits humains avec la Campagne « cartes de vœux » d’Amnistie internationale Des élèves du comité Amnistie internationale de l'école Jean-Raimbault, avec Jacinthe Lebel, AVSEC, ont rencontré des jeunes de 5e et 6e année dans les écoles primaires Christ-Roi, Frédéric Tétreau et Saint-Charles. Ces rencontres avaient pour buts de les sensibiliser à la réalité des droits humains, et de les inviter à réaliser des cartes de souhaits pour des individus et des groupes persécutés, ou arbitrairement emprisonnés, dans le monde. Ce projet fait partie de la grande campagne annuelle "Cartes de vœux" d’Amnistie internationale. Récemment, un midi signatures à l’école Jean-Raimbault a été organisé par les élèves du comité. Tous ces appuis seront envoyés dans les pays concernés pour apporter un soutien aux gens lésés dans leurs droits, pour défendre la dignité humaine.

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Six élèves de l'école Jean-Raimbault ont pris part à la Finale régionale des Jeux du Québec en haltérophilie jeudi dernier à l'école Marie-Rivier avec une belle récolte de médailles; William Ayotte, médaille de bronze, Nicolas Chartier, médaille d'argent, Louis Durocher, médaille d'or. Isaac Caron, médaille d'or, Léonie Vang, médaille de bronze et absent sur la photo, Pierre-Olivier Paquet, médaille d'argent. L'entraineur Marc Durocher était bien fier de ses athlètes!

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Félicitation aux élèves qui s'impliquent dans ce conte musical ! http://vingt55.ca/blog/elfie-la-legende-de-la-terre-un-conte-musical-feerique-bientot-sur-scene/

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https://www.youtube.com/watch?v=wZY0pKsfIUM&feature=youtu.be

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