Animal Sans Toit
Description
Refuges pour animaux: chevaux, poneys, animaux de ferme.
L'asbl accueille aussi des chiens, des chats et d'autres petits animaux de compagnie.
Contacts: exclusivement via le site www.animal-sans-toit.com Fondée en 2002, l'association a pour objet d'accueillir, héberger et replacer des animaux abandonnés, trouvés, saisis par les autorités, ...
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facebook.comSaisie à Saint-Nicolas
Ce jour, un nouvel arrivé chez Animal Sans toi...t. Plus d'infos sur cette saisie dès demain. Mais son état est catastrophique. Nous avons vraiment besoin de votre soutien financier pour tous ces dossiers de sauvetage plus que nécessaires comme vous pouvez le constater. Iban : BE48 1270 6282 4727 Bic : CTBK BEBX Communication : +++ Sauvetages 2018 +++ Merci d’avance, le plus petit don sera toujours le bienvenu car lui aussi devra probablement passer par la clinique. Véronique
Le 02 juin 2018 dès 20h Soirée Années 80 au profit du refuge Animal Sans Toi...t ou ? Au cercle Paroissial Rue Robert 18 à 4340 Othée PAF: 5 euros Contact : Zandecki Marc 0477 97 59 48 Réservation après versement au BE53000446476953 : !! compte réservé uniquement à la soirée !! (communication : Nom + numéro tél) Tenue d'époque souhaitée Tombola et petite restauration végane
En direct du salon du cheval. Stand de présentation de la fefracaf. Fédération francophone des refuges agréés pour chevaux et animaux de fermes.
Nos animaux adoptables sur www.animal-sans-toit.com
Bonjour, je suis Eli! Un magnifique chat gris, qui a eu la chance d'être trouvé alors que j'errais dans la rue. Depuis je suis soigné et nourri tous les jours au refuge, mais j'attends impatiemment de pouvoir me trouver un gentil maître qui me montrera la vie en foyer. Mais attention, sachez que je suis resté sauvage et qu'il faudra donc beaucoup de temps pour que j'arrive à vous faire confiance... Animal Sans Toi...t 04/223.26.15 www.animal-sans-toit.com
Sauvetage de poules (Flémalle) Nous avons dû intervenir à la demande de la SRPA sur un dossier à Flémalle afin de sauver plus de 160 poules pourtant soit disant « sauvées » par des associations de protection animale ! Les malheureuses avaient été confiées à la personne chez qui elles se trouvaient dans le but de les « sauver » en les revendant au prix de 4,5 euros. En fait de « sauvetage » nous avons trouvé sur place un contingent de 159 individus entassés dans un espace d’environ 9 m² en comptant large. Les volailles ne disposaient ni d’eau, ni de paille, et aucun aliment n’était à leur disposition lors de notre visite en compagnie de la police locale. Par contre, au milieu des survivantes, les policiers ont constaté la présence de 41 cadavres. Il va de soi que de telles conditions de détention sont inacceptables, a fortiori pour des animaux qui ont déjà bien souffert. Depuis quelques mois maintenant, vous entendez comme nous parler de ces « sauvetages » de poules pondeuses. Pour notre part nous estimons que le fait d’acheter des volailles à un producteur d’œufs, ne contribue nullement au bien-être animal. En effet, à l’exception de l’individu « sauvé » (acheté à un commerçant), cela ne réduit pas l’exploitation de ces animaux. C’est même tout le contraire puisque : - Acheter (« sauver » disent-ils) une telle poule c’est fournir des liquidités (de l’argent) au producteur qui, grâce à ces « sauvetages », récolte finalement plus qu’en passant par des filières commerciales classiques. - Acheter c’est donc permettre au producteur d’acquérir de nouvelles poules pour leur faire subir le même traitement que les précédentes, et ainsi de suite, dans une sorte de mouvement perpétuel (mauvais traitement, achat, mauvais traitement, achat, etc.) - Acheter (en grand nombre) puis essayer de replacer ces volailles, c’est, au fil du temps, inciter des personnes à prendre chez elles des animaux qu’ils ne souhaitaient pas réellement (achats impulsifs) mais prennent dans l’idée d’un « sauvetage » urgent en n’ayant bien souvent pas les installations nécessaires. - Achetées puis revendues, ces poules sont rarement couvertes par un contrat digne de ce nom (établi par un refuge) qui les protègerait vraiment. - Acheter et revendre, c’est donner l’opportunité à des gens peu soucieux des animaux de détourner complètement cette action de son but d’origine afin d’en obtenir un certain bénéfice. Le cas de Flémalle est la parfaite illustration de cette problématique du « sauvetage » des poules de batteries. C’est pour éviter ce genre de situations, notamment, que nous soutenons fermement l’idée qu’un refuge ou une association de protection animale ne doit pas acheter d’animaux. Que penseriez-vous d’un refuge qui, dans un but de commercialisation, se mettrait à acheter des chiots dans des animaleries, des élevages ou même chez des particuliers, pour pouvoir « placer du chiot » car ils sont très prisés lorsqu’ils s’en trouvent dans les refuges ? Il faut absolument que le public comprenne que le seul moyen de lutter contre l’ignominie des poules de batterie est de mener une action au niveau politique, pour que des mesures soient prises, mais aussi dans nos habitudes de consommation en n’achetant plus d’œufs provenant de batteries et donc issus de grandes souffrances. Il faut à tout prix (parce que ce sont évidemment les pires œufs qui sont les moins chers) éviter d’acheter des œufs étiquetés « 3 » (BE3 s’ils sont produits en Belgique) et privilégier plutôt les œufs de type « 0 » (bio) ou « 1 » (plein air). Les œufs marqués « 2 » étant des œufs produits par des poules vivant au sol ou en volières. C’est la loi de l’offre et de la demande qui fera évoluer les choses dans le sens que vous aurez choisi. Par contre, acheter des poules de batteries ne fait que permettre le renouvellement de ces malheureuses volailles en permettant même à l’exploitant de mieux les rentabiliser. A méditer ! 159 poules, cette fois vraiment sauvées. 140 sont arrivées chez Animal Sans Toi…t et 19 autres ont été dirigées vers la SRPA de Vinalmont. Les poules sont ou vont être sous peu transférées vers d’autres refuges où elles pourront vivre le reste de leur vie en plein air. Animaux en Péril et le Rêve d’Aby notamment nous assisteront dans ce sauvetage. Fabrice Renard
Bien-être animal: deux nouvelles mesures saluées et soutenues par les refuges pour animaux Le ministre wallon du Bien-être Animal, Carlo Di Antonio, propose deux nouvelles mesures fortes afin de contribuer à l’amélioration des conditions de détention d’animaux. Une contribution financière augmentée pour l’identification des chiens et des chats afin de créer un « Fond Bien-être Animal ». Le Ministre wallon du Bien-être Animal a souvent déclaré que le meilleur choix pour acquérir un animal de compagnie était de l’adopter dans un refuge. Cette proposition de « taxer » un peu plus l’achat dans une animalerie ou chez un éleveur va donc dans le sens des déclarations de Carlo Di Antonio. Les refuges agréés seraient en effet dispensés du paiement de cette nouvelle contribution. Concrètement, le prix de l’enregistrement des chiens et des chats auprès de Dog ID et Cat ID se verrait augmenté de quelques euros. Il ne s’agit donc pas d’une taxe sur la possession d’un animal comme elle existait il y quelques années (encore d’application dans quelques communes). Les sommes perçues alimenteront un fonds destiné à soutenir le secteur de la protection des animaux et en particulier les refuges agréés. Ces derniers étant les premiers concernés par les abandons, le ministre estime qu’ils doivent être soutenus. Pour rappel, hormis une subvention pour des investissements accordée en 2017, les associations de protection des animaux sont exclusivement financées par des donateurs privés. Chaque année, à l’échelle nationale, près de 60.000 animaux sont pris en charge par les refuges. Les refuges wallons accueillent cette mesure avec enthousiasme et remercient Carlo Di Antonio pour cette volonté d’aider les principaux acteurs de terrain tout en motivant les acheteurs potentiels à adopter leur animal de compagnie plutôt que de l’acheter. Un permis pour détenir un animal Cette idée, bien qu’elle ne soit pas neuve dans l’esprit du Ministre du Bien-être Animal, et souhaitée depuis longtemps par les acteurs de la protection animale, devrait se concrétiser d’ici peu. Dans l’état actuel de la loi, pour qu’une personne soit interdite de détenir des animaux, elle doit être condamnée par un tribunal correctionnel. En effet, seule l’application par un juge de l’article 40 de la loi du 14 août 1986 sur la protection des animaux permet d’interdire la détention d’une ou plusieurs espèces pour une période déterminée ou indéterminée. Le problème est que les Parquets classent sans suites la grande majorité des procès-verbaux dressés par les inspecteurs vétérinaires de l’Unité Bien-être Animal de Wallonie (UBEAW). Et quand les quelques trop rares affaires sont renvoyées devant les tribunaux (souvent par l’intermédiaire des associations), la clémence des juges fait que la mesure d’interdiction n’est pas prononcée, laissant la porte grande ouverte à la récidive. Interpellé à de nombreuses reprises sur le sujet, Carlo Di Antonio avait promis de trouver une solution à ce laxisme de la justice face aux mauvais traitements sur animaux. L’idée du permis a donc fait son chemin afin de permettre à l’administration de le retirer le cas échéant. C’est en quelque sorte une « interdiction inversée », mais qui donne le même résultat. Concrètement, dès sa mise en application, tout citoyen obtiendra le permis de détention. Ce permis ne sera pas « physique », il sera gratuit et obtenu sans examen. Toutefois, toute personne ayant maltraité un animal pourrait voir son autorisation retirée par l’administration. La base de données des « interdits » permettra aux contrôleurs de l’administration de surveiller ces personnes et de leur confisquer les animaux en cas de récidive. Et ce, sans attendre que ces derniers soient maltraités. Une fois encore, les refuges soutiennent sans réserve cette proposition du Ministre Di Antonio qui a su être inventif pour pallier à ce sentiment d’impunité face aux situations de maltraitance animale. Ces deux mesures sont soutenues et défendues depuis longtemps par nos associations qui doivent quotidiennement répondre à des situations de souffrances animales. Un signal fort dans une société trop souvent axée sur les libertés individuelles et sur la marchandisation, qui rappelle à tous que l'animal est avant tout un être vivant et sensible et que son bien-être prime sur un éventuel droit fondamental d’en posséder. Cette communication est cosignée par : Animal Sans Toi…t Animaux en Péril Everyone Matters Farm Sanctuary V.G. Equi’Chance GAIA INNI Le Rêve d’Aby Les Chats sauvages Les Petits Vieux L’Arche de Noé L’Etoile de Bonté L’Oasis des Ânes La Cité des Anges La Croix Bleue de Belgique Opale - refuge des Collines Refuge du Beaussart Sans Collier Sans Famille SPA du Peruwelzis SPA Comines SPA La Louvière SPA Mouscron SRPA d’Arlon SRPA de Charleroi SRPA de Liège SRPA de Vinalmont SVPA de Verviers Tabula Rasa The Lucky Stars Tierheim Schoppen Un Toit pour Eux Veeweyde
Merci à tous nos collègues pour ce sauvetage et nous sommes content d'avoir été à vos côtés. Une belle union et collaboration qui paye! Autant d'animaux sauvés. L'union fait la force.
7 lapins, 1 oie et 3 cailles sont arrivés suite à cette saisie. De plus en plus d'animaux sauvés lors de saisie viennent chez nous au refuge de Viemme. Nous avons vraiment besoin de votre soutien financier pour tous ces dossiers de sauvetage plus que nécessaires comme vous pouvez le constater. Iban : BE48 1270 6282 4727 Bic : CTBK BEBX Communication : +++ Sauvetages 2018 +++ Merci d’avance, le plus petit don sera toujours le bienvenu. Véronique Sandona Présidente