Odrimont Tennis Club
Description
Club et Ecole de tennis
Belgian association for tennis development Chers membres,
Chers élèves,
Chers parents,
Quelle saison !
De magnifiques résultats en interclubs, une météo clémente, un bel été, un magnifique tournoi,
d’extraordinaires résultats des jeunes de notre école de tennis, un resto/bar toujours aussi
accueillant ; notre club est en grande forme !
La période des interclubs est toujours un formidable moment de convivialité riche en émotions. Et
le tennis étant un sport individuel, on savoure encore plus cette période où l’on ne joue pas seul
mais avec et pour une équipe ! Lorsqu’en plus cette aventure se clôture par une victoire, on ne
peut que se réjouir !
Dès lors, permettez-moi de commencer par féliciter nos champions de Belgique. En effet, notre
équipe de Messieurs 70 a remporté au terme de 6 rencontres le titre de Champion de Belgique !
Cette équipe est composée de Guy Debruyne, Guy D’hooge, Jean-Claude Bourotte, Claude Patte,
Luc De Nys, Serge Eloy et Luc Jacobs.
Félicitations Messieurs pour cette magnifique victoire !
Félicitations aussi à nos équipes championnes du Brabant. Il s’agit des Dames Régionales 3 ;
composée de Valentine Limauge, Laura Bahnam, Audrey Maes, Nadège Maes, Maïté Herkens,
Justine Vermeulen et des Jeunes Gens 14/1 ; composée de Jérémy de Bodt, Sam Verkaren,
Nicolas Cosemans et Jack Logé. Egalement Champion du Brabant Division 1 messieurs ; Philippe
Algrain (Capt), Alfonso Gonzalez, Alexandre de Chaffoy, Axel Putseyze, Benjamin Lagache, Cédric
Atzenhoffer, Maris Arkoulis, Nicolas Logé, Erik Petersson et Martin Bats.
Bravo également à nos équipes finalistes. Les Messieurs 45 régionale 3, les Jeunes Gens 9
régionale 1 et l’équipe Mixte 9 ans. Et bravo aussi à l’équipe Jeunes filles 14 régionale 2, Demifinaliste
Brabant.
Un autre grand moment est celui du tournoi de notre club.
Cette année, nous avons organisé simultanément 2 tournois la 3ème semaine du mois de juillet.
D’une part, il y a eu le tournoi « critérium » qui a accueilli +/- 560 joueurs et d’autre part le
tournoi Tennis Europe -12 et -16 ans (plus de 200 participants) qui a permis à nos jeunes de se
« frotter » aux meilleurs de leur catégorie en Europe et à tous les amateurs de tennis de regarder
les prouesses de ces jeunes stars en herbe !
Je tiens à remercier tout particulièrement nos sponsors qui nous apportent leur soutien à la
réalisation de ces merveilleux événements mais également les membres de l’équipe Club, école de
tennis, secrétariat et O’Dream pour leur contribution à faire de cette semaine un grand succès !
Passons à l’école de tennis.
Tell your friends
RECENT FACEBOOK POSTS
facebook.comEditorial Mission remplie C’est sur une fausse note que David Goffin a terminé l’US Open. Desservi par sa mise en jeu défaillante (50 % de premières balles) contre Roger Federer, il a pris une correction comme il en connut rarement, en huitième de finale. En fait, il s’agit d’une véritable débâcle. Certes, on ne pouvait raisonnablement s’attendre à ce qu’il prenne la mesure du Suisse, surtout après la démonstration que ce dernier avait réussie face au Britannique Evans qui avait mystifié tour à tour Mannarino et Pouille lors des deux premiers tours ; mais au moins espérait-on qu’il offre une résistance digne de son rang – comme il l’avait fait contre Nadal à Roland-Garros et contre Djokovic à Wimbledon. Il convient cependant de corriger le tir… Si pareille sortie est un peu triste, on se gardera de jeter le bébé avec l’eau du bain. Goffin avait un objectif principal : atteindre le quatrième tour du tournoi comme l’an dernier. La mission est remplie ; il préservera ses positions lorsque sortira le prochain classement ATP. Tout indique, par surcroît, qu’il les améliorera au cours des semaines à venir puisqu’il n’a plus aucun point à défendre jusqu’en 2020. Les esprit chagrins – puisqu’il y en a toujours – feront remarquer que battre Moutet et Barrère à New York représentait un minimum syndical. Mais on rétorquera que le troisième tour n’eut rien d’une sinécure : Carreno Busta, demi-finaliste de l’épreuve en 2017, vendit chèrement sa peau vendredi dernier et démontra, avant de s’incliner, que son classement ne reflétait en rien sa valeur actuelle. Malgré les apparences (7/6 7/6 7/5), la bataille contre l’Espagnol fut rude et l’on ne put qu’admirer la manière dont David réussit à se tirer d’affaire, en particulier dans le tie-break de la deuxième manche quand son adversaire s’offrit deux balles let irrécupérables. Il fallait avoir une fermeté d’âme remarquable dans ces moments tendus pour ne pas perdre le contrôle de soi-même, et des événements par corollaire. De plus, en fin de troisième set, il dut aussi consentir de gros efforts pour retourner le mauvais cours des choses après avoir concédé le premier break du match qui l’avait retardé à 3/5. Il est d’ailleurs vraisemblable que cette débauche d’énergie physique et mentale explique, au moins en partie, sa consternante contre-performance contre un Federer impérial qui, lui, a retrouvé son rythme de croisière de Wimbledon et aura appris sans déplaisir que Novak Djokovic, victime d’une blessure à l’épaule gauche, avait rendu les armes face au revenant Wawrinka. Cela dit, on peut penser que, à la veille de partir pour les Etats-Unis, Goffin aurait signé des deux mains pour achever sa tournée américaine, si mal engagée à Washington et à Montréal, sur un bilan bénéficiaire par rapport à celui de 2018.
Nous sommes à la recherche d’un chef de cuisine urgemment !!!! Régime temps plein, capable de savoir tenir sa cuisine , de proposer des plats ou suggestions diverses. Si vous êtes intéressé, veuillez prendre contact avec Séverine Carroll au 0475/29.73.90
Victor a gagné son premier tournoi en 9 ans grade 3 💪🏆🎾bravo pour cette mentalité de gagneur 👍
Dernière semaine de stage: après-midi olympiades.
Odrimont Tennis Club's cover photo
Editorial Au bas de l’échelle Le gratin du tennis mondial va séjourner une quinzaine de jours à New York. Une fois de plus Djokovic, Nadal et Federer seront les favoris du tableau masculin, le féminin ressemblant plus que jamais à une bouteille à l’encre dont on ne sortira que samedi en huit. On se gardera de toute spéculation et l’on retiendra plutôt de cette édition de l’US Open qu’aucun de nos compatriotes n’a réussi à sortir des qualifications. Coppejans et Kirsten Flipkens sont tombés au dernier tour ; Yanina Wickmayer au deuxième et Ysaline Bonaventure dès le premier. Voilà qui n’est guère encourageant… Mais, cette semaine, le parc municipal de Flushing Meadows ne sera pas le seul centre d’intérêt des amateurs de tennis. Il se fait que Andy Murray, qui faisait encore partie du « Big Four » il n’y a pas si longtemps, a demandé une « wild-card » aux organisateurs du Challenger de Majorque. Une telle démarche, que d’aucuns prendront pour une manifestation d’humilité , démontre que l’ancien numéro un mondial ne désespère de retrouver un rang digne de son passé ; et qu’après sa récente tournée américaine, qui ne fut d’aucun rapport, il est prêt à repartir du bas de l’échelle. Noyé dans un tableau de 64, où il ne dispose même pas d’un statut de tête de série, Murray se prépare à vivre une expérience exceptionnelle pour se refaire la main autant qu’une santé. Il sera très intéressant de suivre ses résultats – s’il est de taille à s’imposer dans une île qui n’est pas la sienne. Et l’on pourra se faire une idée précise du niveau de difficulté que représente un Challenger pour un joueur somme toute exceptionnel à en juger par son palmarès. Mais, en même temps, il faut rappeler qu’un retour au premier plan ne s’effectue jamais en un tournemain. On rappellera que David Goffin, en plein désarroi au printemps dernier, décida, au lendemain d’une apparition misérable à Indian Wells, de solliciter lui aussi une « wild-card » au Challenger de Phoenix et qu’il y fut éliminé en quart de finale par un noble inconnu répondant au patronyme prestigieux de Caruso.
Formation Aft Mon tennis 🎾 à Odrimont pour tous les moniteurs Batd 💪💪👍👍👍
Top stage cette semaine.
Editorial Les marques retrouvées On peut être rassuré et lui le premier : David Goffin a retrouvé ses marques. Après sa saison sur herbe, couronnée par un quart de finale à Wimbledon, il a connu un fléchissement inexplicable qui s’est traduit dans les faits, à Washington et à Montréal, par deux déconvenues dont il se serait bien passé. Mis au pied du mur la semaine dernière à Cincinnati, où il devait sauver les points d’une demi-finale perdue contre Federer en 2018, il n’a pas tremblé. Certes, il a bénéficié du forfait de Nadal qu’il aurait dû rencontrer dès le troisième tour ; mais on retiendra plutôt qu’il réussit à se frayer un chemin jusqu’en finale où Medvedev, à bout de forces (18 matches en vingt jours !), lui dicta sa loi quelque peu miraculeusement. Miraculeusement ? Les chiffres (7/6 et 6/4) ne le suggèrent pas ; mais, après avoir profité de la générosité de son adversaire au cours du tie-break de la première manche ponctué par une double-faute de David, le Russe avoua qu’il se sentit au bord des crampes dans la seconde à 5/3 et qu’il n’en menait plus large quand, distancé à 15/40 dans le dixième jeu, il put heureusement (pour lui) compter sur la qualité de son service. Voilà pour le côté anecdotique des choses. Plus important : Goffin abordera l’US Open dans les meilleures conditions possibles, sur le chapitre de la confiance. Remonté à la quinzième place mondiale, il ne risquera pas de faire une mauvaises rencontre dans le tableau – sauf émergence soudaine d’un joueur qui connaîtrait un soudain pic de forme –, comme ce fut le cas à Roland-Garros où il se heurta dès le troisième tour au maître des lieux. A New York, il devra atteindre le quatrième tour pour faire aussi bien que l’an dernier. Puis il n’aura plus le moindre souci à se faire (c’est-à-dire : plus le moindre point à sauver) avant janvier prochain ! On peut donc estimer que s’il ne connaît aucun souci de santé et ne se voit pas freiné par une blessure, il a toutes les chances de réintégrer le top 10 avant les fêtes de fin d’année. En outre, aujourd’hui, il s’est clairement relancé dans la course aux Masters de Londres : classé onzième, il n’a plus que 190 points de retard sur le huitième, le Japonais Nishikori. Comme une bonne nouvelle vient rarement seule, on se doit de signaler que le 15000 $ de Coxyde a souri au junior liégeois Gauthier Onclin qui a disputé sa première finale à pareil niveau. Voilà un belle façon de mettre le pied à l’étrier.
‼️‼️Encore 24 h pour vous inscrire à notre tournoi , ne tardez plus 🎾💪🏻www.aftnet.be
Editorial Maigre bilan La semaine fut un peu triste pour le tennis belge. A Montréal, pas mieux qu’à Washington, Goffin n’a pu passer le premier tour. A Toronto, Elise Mertens a été arrêtée dès le deuxième tour par Serena Williams sur un double 6/3, ce qui n’est pas scandaleux – mais peu glorieux. Voilà le très maigre bilan de nos élites nationales. On mettrait volontiers le point final à cette rubrique hebdomadaire sur ce constat car celles et ceux qui luttent, non sans courage, un ou deux étages plus bas pour sortir de l’anonymat sur le circuit mondial n’ont guère brillé ces derniers jours. Mais on ne saurait s’enfouir la tête dans le sable et ne pas voir quel désert se répand progressivement sur la Belgique tennistique. Les meilleurs résultats – encore que modestes – enregistrés par nos compatriotes tiennent à l’accession de Michael Geerts à la finale du 15 000$ d’Eupen et à celle de Lara Salden aux demi-finales du 25 000 $ de Coxyde, l’une (associée à Kimberley Zimmerman) et l’autre s’imposant accessoirement en double ; et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’un avenir radieux ne semble donc guère à l’ordre du jour. Il faut, en effet, se rendre à l’évidence que nos meilleurs jeunes stagnent. Zizou Bergs (20 ans – ATP 467) occupait le 386ème rang de la hiérarchie mondiale en décembre dernier ; Maxime Pauwels (21 ans – ATP 627) obtint également son meilleur classement (602) en décembre 2018 ; quant à Benjamin Dhoe, il vient de retrouver un classement (ATP 645), grâce à l’abandon de la réforme qui l’en avait privé depuis janvier. Reste Arnaud Bovy (18 ans – ATP 753), qui se trouve sans doute à la croisée des chemins et dont on voudrait croire qu’il se montrera plus entreprenant que ses aînés… Côté féminin, la situation est heureusement moins désagréable. On le doit essentiellement à Greet Minnen (21 ans – WTA 120) qui a gagné plus de deux cents places depuis le début de l’année ainsi qu’à Lara Salden (20 ans – WTA 321) qui en a effacé à ce jour quatre cent quarante-six pendant la même période. Ces demoiselles ont encore du chemin à parcourir ; mais, malgré les apparences chiffrées, la route qui mène au top 100 sera semée d’embûches pour toutes les deux.