Cium Etudiants Medecine
Description
Le CIUM réunit les représentants étudiants en médecine de Belgique Francophone. Il est reconnu par le BeMSA et l'International Federation Med. Stud. Assoc. Le CIUM réunit des étudiants en médecine des cinq universités de la Fédération Wallonie-Bruxelles organisant ce cursus que sont l’Université de Mons (UMons), les Facultés universitaires Notre-Dame de la Paix (FUNDP) à Namur, l’Université libre de Bruxelles (ULB), l’Université catholique de Louvain (UCL) et l’Université de Liège (ULg).
La mission que s’est donnée le CIUM est la suivante : former, informer, représenter et défendre les étudiants en médecine sur les questions politiques relatives aux études et aux professions médicales.
À cette fin, le CIUM organise des séances d’information en première médecine dans les universités, il réagit aux déclarations dans la presse émanant des sphères politique et académique, il mobilise les étudiants au besoin. Bref, il se bat pour les droits des étudiants !
Le CIUM ne fait pas que critiquer, il propose une vision de l’enseignement supérieur et des soins de santé accessibles à chacun, quel que soit son origine et ses revenus.
Le CIUM se compose d’un bureau et d’une assemblée générale. Tout étudiant de la Fédération Wallonie-Bruxelles qui le souhaite est membre de plein droit de l’assemblée générale même si une pondération existe où les élus locaux possèdent un vote pondéré. Le bureau est élu en partie par l’assemblée générale à l’aube de chaque année académique et les Vice-Présidents peuvent être proposés par les représentants étudiants locaux.
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facebook.comJournal télévisé 19h30
Cette semaine, les journalistes du JT de la RTBF (3'40'') ont suivi Quentin Lamelyn , notre président en stage qui témoigne du quotidien des étudiants de la double cohorte, lesquels ne sont pas encore garantis de pouvoir poursuivre leur spécialité au terme du cursus. En effet, c'est plus de 1200 places de stages supplémentaires qu'il est nécessaire de créer afin de pouvoir assurer une formation à tous les étudiants prochainement diplômés, un challenge de taille quand on sait qu'à l'heure actuelle, aucun budget spécifique n'est prévu pour assurer un salaire aux futurs candidats. Nous déplorons l'inactivité politique qui a laissé pourrir ce dossier jusqu'à la fin, mettant l'étudiant comme responsable d'une problématique dont ils sont les seuls auteurs. Un scandale pour de nombreuses familles qui soutiennent financièrement et moralement depuis six ans leur enfant subissant chaque année les conséquences de jeux politiques nauséabonds mettant en péril l'avenir de milliers d'étudiants. Cette perspective est d'autant plus interpellante quand on sait qu'à cause de la pénurie de médecins, on importe massivement des praticiens de l'étranger afin d'assurer la continuité des soins, il apparaît donc surréaliste qu'on force nos propres étudiants à devoir s’exiler ! https://www.rtbf.be/auvio/emissions/detail_journal-televise-19h30?id=5
Examen d'entrée en médecine : destruction programmée des soins de santé
Article opinion sur l'examen d'entrée de notre secrétaire général Giovanni Briganti paru sur le site Le journal du Médecin ce matin ⬇️ Dans celui-ci, il rappelle l'absurdité de ce système de sélection qui: 1) a été mis en place suite à un chantage du gouvernement fédéral en échange de l'octroi des numéros INAMI pour les étudiants en médecine en cours du cursus. Une délivrance toujours incertaine. 2) n'est absolument pas justifié en période de pénurie des médecins. 3) reste critiquable au vu du manque de cadastre précis des besoins de la population belge en offre médicale. 4) a été prouvé comme n'ayant aucune légitimité scientifique. Des études montrent qu'un tel examen, basé principalement sur des compétences en sciences fondamentales, ne prédisait en rien la réussite future des étudiants l'ayant réussi ou raté. 5) ne permet pas de limiter véritablement le nombre étudiants médecins entrants (réussite ou échec de l'examen). 6) en 20 années d'existence du coté néerlandophones, a généré des surnuméraires. Ainsi, dans les 10 prochaines années, 150%des médecins partant à la retraite seront remplacés contre seulement 43% en Fédération Wallonie-Bruxelles (sans sélection). 7) engendre une sélection sociale puisque le niveau des établissements secondaires belges est très disparate. C'est le principe de libre accès aux études qui est mis en cause. http://www.lejournaldumedecin.com/actualite/examen-d-entree-en-medecine-destruction-programmee-des-soins-de-sante/article-opinion-29279.html
Il était une fois, l'examen d'entrée et la médiocrité de nos politiques
Notre responsable du pole recherche et éditorialiste invité du journal du Medecin, le Dr Jérôme Lechien (assistant en ORL) a donné son avis 📝 sur l'examen d'entrée dans un article opinion sur le site Le journal du Médecin. N'hésitez pas à le consulter ici ⤵ http://m.lejournaldumedecin.com/actualite/il-etait-une-fois-l-examen-d-entree-et-la-mediocrite-de-nos-politiques/article-opinion-28823.html
Le Comité Inter-Universitaire des étudiants en Médecine réagit à l’annonce de proposition de changement de la clé de répartition NL/FR des numéros INAMI par un nouveau communiqué de presse à découvrir ci-dessous: Clé de répartition INAMI : surdité chronique du monde politique Aujourd’hui, les étudiants en médecine apprenaient dans la presse que la commission de planification a plaidé, encore une fois, en faveur d’une modification de la clé de répartition fédérale des numéros INAMI. Ces derniers recommandent un changement de la clé 60/40 vers une répartition 58/42 pour la période 2023-2026, où 42% des numéros INAMI totaux (607 INAMI) seraient donc assignés aux étudiants de la Fédération Wallonie Bruxelles. La ministre De Block ne s’est pas encore exprimé en rapport à l’avis de la commission de planification. Pour rappel, la commission avait fourni un avis similaire il y a quelque mois, voulant modifier la clé à 56,5/43,5. La ministre avait refusé cette répartition sous pression de la N-VA et CDV. Des députés des deux partis politiques s’étaient en effet exprimés dans la presse en disant que la FWB avait formé trop de surnuméraires pendant trop longtemps, et qu’ils « ne feront plus de cadeaux aux francophones ». Entre temps, le Conseil d’Etat invalidait les quotas 2015-2016 régissant le concours en fin de BA1 car « non représentatifs des besoins de la population ». Suite à cette annonce, le CIUM, Comité Inter-Universitaire des étudiants en Médecine, seul syndicat de la FWB des étudiants en médecine, se réjouit de l’avis fourni par la commission et souhaite s’indigner face à la surdité chronique du monde politique en matière des numéros INAMI. En effet, la modification de la clé de répartition en faveur de la Fédération Wallonie Bruxelles est nécessaire pour le maintien d’un système de soins de santé de qualité : 1. La Fédération Wallonie Bruxelles fait face à une pénurie grave de médecins, contrairement à ce que pensent les politiques flamands, temporairement tamponnée par la loi de février 2011, faisant travailler le candidat spécialiste (médecin assistant) jusqu’à 76h/semaine, ainsi que par le dumping social, l’importation massive de médecins étrangers sous-payés venant de Roumanie, d’Italie et d’autres pays européens. D’ici 10 ans, seulement 43% des médecins partant à la pension seront remplacés en Wallonie contre 150% en Flandre (étude Deliège 2015). 2. Les arguments défendant la limitation des médecins (numerus clausus) car « une pléthore de médecins entraîne une surconsommation des soins de santé », est dogmatique et non scientifique : une étude du KCE, organisme belge évaluant les soins de santé, pointe du doigt le fait que les deux ne sont pas corrélés. Par contre, plusieurs études d’épidémiologie clinique montrent qu’une prise en charge précoce des patients (déterminée par la présence et répartition suffisante des médecins sur le territoire) améliore leur pronostic. 3. Les besoins de la Fédération Wallonie Bruxelles ne peuvent pas être mesurés par le nombre brute de médecins présents sur le territoire : une étude plus extensive sur les équivalents temps plein (ETP) doit être effectuée, ainsi que la détermination épidémiologique des responsabilités et de la répartition des médecins généralistes et spécialistes. Celle-ci mettrait davantage en évidence le manque cruel de médecin généralistes. En attendant, le monde politique s’entête depuis 20 ans à sélectionner aveuglement des futurs médecins sans savoir exactement de combien de médecins a-t-on besoin. Le CIUM espère que, cette fois, la Ministre De Block écoutera la voix de la raison de la commission de planification, qui souhaite empêcher la destruction programmée d’un des meilleurs systèmes de soins de santé du monde entier. Pour le CIUM, Quentin Lamelyn Président 0471 30 39 35 Giovanni Briganti Secrétaire Général et Directeur de l’Institut de Recherche 0491 87 15 69
Un métier difficile et magnifique pour une vie de fou
Les études sont alarmantes: 27% de dépression chez les étudiants en médecine et 14% de pensées suicidaires chez les médecins assistants. Le co-Directeur de notre pôle scientifique, le Dr Jerome Lechien est monté au créneau sur ce point dans Le journal du Médecin. Nous, les étudiants et jeunes médecins en formation méritons plus de considérations pour notre métier et les nombreux sacrifices que nous faisons ! -"Les mesures d'économies drastiques, la crise prolongée des INAMI créées par les politiques actuelles, plus incompétentes et hypocrites les unes que les autres, ne font en rien évoluer positivement l'amélioration de nos conditions de travail. Il est temps de réagir avant que la corde sur laquelle on tire craque..." http://www.lejournaldumedecin.com/actualite/un-metier-difficile-et-magnifique-pour-une-vie-de-fou/article-opinion-27991.html
Photos from Cium Etudiants Medecine's post
Il y a 1 an, le CIUM a créé un Centre de Recherche s'intéressant aux affaires étudiantes (sélection, pédagogie, mentorat, réussite, etc.) et ce, dans le but de mettre un peu d'objectivité dans les divers dossiers qui nous concernent. Un an plus tard, nous avons le plaisir de vous annoncer que nos deux premières publications scientifiques (écrites par notre responsable du pôle recherche) ont été publiées dans des revues internationales et sont disponibles sur PubMED à qui le désire (lien ci dessous, article disponible en PDF via notre page). N'hésitez pas à rejoindre notre pôle de recherche si ces sujets vous intéressent ! Au delà de votre défense, notre objectif est d'également faire évoluer notre système via la science. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28068649 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28000490
Le MR a lâché les étudiants en médecine
C'est une véritable prise d'otage vis à vis de l'avenir de tous les étudiants en médecine que nous avons découvert ce jour dans la presse. Un document officiel du gouvernement fédéral a fuité dans la presse. Ce document est une pression politique du gouvernement MR/NVA qui stipule que si le gouvernement de la fédération Wallonie-Bruxelles n'instaure pas un examen d'entrée en médecine, le gouvernement fédéral privera l'ensemble des étudiants du numéro INAMI. C'est d'autant plus questionnant que sur le fond, l'examen d'entrée ne permettra pas de limiter le nombre d'étudiants entrant dans le cursus en fonction des numéros disponibles et générera indéniablement comme en Flandre des étudiants sans numéro. Ceci étant, la question n'est pas d'être pour ou contre un examen d'entrée, nous-mêmes au CIUM, nous sommes partagés et critiques sur cette question épineuse, la question est surtout de savoir si on accepte une nième fois d'être pris en otage par des politiques qui instrumentalisent l'avenir de plus de 10.000 étudiants pour des querelles politiques. http://www.lalibre.be/actu/belgique/le-mr-a-lache-les-etudiants-en-medecine-58582dc5cd70fa7e37c4e372#.WFlBKcveOI0.facebook
Médecins et étudiants s'offusquent du nombre de numéros Inami pour médecins étrangers
Aujourd'hui notre président Quentin Lamelyn a eu l'occasion de dénoncer dans la presse la situation paradoxale dans laquelle nage notre pays. En effet, alors que les besoins croissants sur le terrain nous obligent à embaucher à tour de bras des médecins étrangers, notre gouvernement s'obstine à punir les étudiants en médecine par une sélection drastique tout en continuant un odieux dumping social. http://www.levif.be/actualite/belgique/medecins-et-etudiants-s-offusquent-du-nombre-de-numeros-inami-pour-medecins-etrangers/article-normal-583571.html?utm_campaign=Echobox&utm_medium=social_vif&utm_source=Facebook#link_time=1481207098
Etudes de médecine: l’épreuve punitive pour les candidats
Notre président Quentin Lamelyn a eu l'occasion aujourd'hui de s'exprimer à propos de la confirmation d'un examen d'entrée en médecine. Il est important de retenir que : -Depuis des mois maintenant subsiste une absence totale de concertation et de considération des étudiants par les politiques, eux qui promeuvent l'implication des jeunes dans les actions citoyennes nous considèrent aujourd'hui encore comme des gamins incapables de participer aux processus décisionnels concernant leur avenir, nous laissant une fois de plus dans l'inconnu, dans le stress ( comme-ci nos études ne l'étaient pas déjà assez). -Est-ce qu'il est justifiable de s'engouffrer dans une sélection opaque, profondément injuste socialement parlant et qui risque d'empêcher un nombre conséquent de futurs grands cliniciens, chercheurs, dentiste chevronné de pouvoir faire leurs preuves et vivre leur vocation ? Ce n'est pas comme-ci une des plus haute instance juridique de notre pays venait de remettre en question le fait de sélectionner quand il manque et manquera énormément de médecins... Bien sur nous sommes étudiants comme vous et ce que nous désirons comme vous qui nous lisez ce sont des garantie que nous pourrons enfin nous focaliser qu'en on études sans risquer que tout s'arrête en dernière année (assurance que nous n'aurons probablement jamais plus). Il est séduisant de tout accepter pour sauver le peu que nous avons mais n'oublions jamais qu'au delà de notre personne qui souffrira d'un manque de médecins en connaissant une surcharge de travail considérable, c'est toute la population qui ne pourra plus accéder à un besoin fondamental. N'ayons pas peur de le dire: nous ne serons plus les otages d'un conflit politique puéril ! Notre avenir ne doit pas servir d'outil de destruction des soins de santé ! http://plus.lesoir.be/71022/article/2016-11-29/etudes-de-medecine-lepreuve-punitive-pour-les-candidats
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Nous avons réunis 400 personnes aujourd'hui avec John Joos pour le Jogging du dimanche à Mons. Ce jogging était spécial car il a permis de récolter plus de 600 euros au profit de l'organisation Think Pink, organisation active dans la sensibilisation et le soutien aux personnes atteintes d'un cancer du sein. Cela fait 2 ans que sous la bannière du CIUM, certains de nos membres ont le plaisir de coorganiser ces événements citoyens afin de sensibiliser davantage à la santé! N'hésitez pas à liker la page Jogging du dimanche et à rejoindre notre communauté de joggueurs!
Jogging du Dimanche - Edition Rose
Le Cancer du sein, ça concernera une femme sur 8 en Belgique dans sa vie. Depuis quelques années, le CIUM s'est également donné pour mission l'organisation d'événements de promotion de la santé qui, au delà de la promotion du bien être stricto sensu, veulent sensibiliser la jeunesse sur certains sujets médicaux d'actualité. Avec nos partenaires, nous avons donc le plaisir de vous inviter à notre jogging au bois d'Havré (Mons) organisé ce dimanche en compagnie de divers acteurs actifs dans le domaine de la santé et de la lutte contre le cancer. Ce jogging qui rassemblera entre 300 et 500 personnes est ouvert à tous, quel que soit le niveau ! Vous serez encadrés par des professionnels et divers stands (sensibilisation au cancer du sein, à une alimentation saine, etc.) seront présents. Plus d'infos sur notre page ! A dimanche ! https://www.facebook.com/events/1598315913804053/
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aujourd'hui, notre président Quentin Lamelyn a eu l'opportunité de s'exprimer dans le journal Le soir aux côtés du président de la FEF sur la lettre reçue par les étudiants de l'UCL. A l'heure actuelle, nous conseillons de ne rien signer ! Nous avons lancé des avis juridiques qui tendent à démontrer l'illégalité d'une telle mesure. Nous communiquerons dès que nous en saurons plus. Nous rappelons également que cette problématique en soulève une autre loin d'être résolue et pour laquelle le combat continue, à l'heure actuelle, aucun étudiant n'a la certitude qu'il pourra un jour exercer la médecine curative !