Centre culturel de Bièvre
Description
Sens Dessus (sans) Dessous
La nouvelle saison tire le volet sur l’année du cochon pour …effeuiller les âmes, bouleverser les codes, changer les perspectiv
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facebook.comSeuls les plutoniens n’ont pas entendu parler de cette soirée-patchwork qui mêle, musiques et arts plastique, artistes professionnels et amateurs, et qui plus que jamais enrichit le public de cette dimension plurielle si chère à nos cœurs… Cette année, la salle d’exposition se fait l’écrin de «sculptures en tissu» contemporaines, métissées avec un travail collectif imprimé d’interculturalité ! Quant à la scène, elle s’offre encore à tous les styles, tous les talents, tous les univers…
On a trouvé une enfant sauvage sur la Place du Jeu de Balle. Ses cris s’entendaient de loin ; on la voyait se mordre et saliver comme une bête. Au milieu de la foule et de l’indifférence, un homme s’intéresse à elle, tente de l’arracher à l’oubli. Il s’appelle « un homme », ça aurait pu être un autre. Ce qu’il nous raconte, c’est la réalité qu’il découvre derrière les mots : accueil d’urgence, juge, famille, père, enfant, administration, adoption, home…. Dans ce monologue poignant, Céline Delbecq nous fait pénétrer une réalité qu’elle connaît bien. Comme toujours, elle ose aborder les sujets les plus durs avec une humanité vivifiante, ouvrant des espaces de parole précieux, plaçant la fonction théâtrale au cœur des nécessités sociétales. Et inversement. Engagement social du projet Il y a, en Belgique, 2000 enfants en attente de famille d’accueil à court et moyen terme. L’Enfant Sauvage est avant tout un monologue théâtral, mais il peut avoir une résonance concrète au-delà de la représentation.
La graine et le pain sont des symboles. Ils sont sources de vie, partout et de tout temps. Ces dernières années, sur les terres de Wallonie, on a vu réapparaître des variétés oubliées de céréales paysannes. Les blés anciens. Au fil des saisons, les graines se multiplient, se répandent et se transforment. Les gens se rassemblent, le travail s’organise. Un petit réseau prend forme. C’est alors que l’acte de produire la semence et le pain devient pour chacun une expérience, guidée avant tout par la recherche du goût et le respect de la terre. Des champs au hangar, du moulin à la boulangerie, le film raconte les parcours croisés d’un agriculteur, une agronome, un paysan boulanger et deux meuniers, cinq acteurs du bon grain et du bon pain. Plus d’infos sur le film : http://www.quandlevent.be/ Projection suivie d’une discussion/dégustation avec Ambroise De Greift, gérant du Moulin de Vencimont.
" Les papillons portés par des vents du sud nous reviendront dès le printemps venu" ! Réalisation de l'Atelier Arts plastiques du Centre Léon Henrard de Alle sur Semois - 2017
De croisements vocaux émouvants en lyrisme mystique ou envolées festives, IALMA nous fait revivre l’héritage galicien qui coule dans leurs veines avec l’exaltation du marcheur qui voit poindre Compostelle à l’horizon. Avec ce projet, c’est à une expérience musicale inédite, empreinte de culture et de traditions galiciennes mixées à la diversité de notre monde contemporain, qui vous est offerte, comme une ode à la diversité. Nulle association ne semble plus évidente que celle du mot « chemin » et de la ville de Santiago de Compostela (Saint-Jacques), évocatrice de tant d’aventures, de tant de récits initiatiques, symboliques, spirituels. Mais cette fois, le pèlerinage se danse et se joue sous la houlette de trois charismatiques ambassadrices galiciennes, chanteuses de Ialma qui, depuis 15 ans, célèbrent leur région d’origine à travers le monde. Que de chemin et chemins parcourus depuis « Palabras Darei », leur premier album aux couleurs trad ! Des contrées musicales inexplorées, permettant les improbables rencontres, aux échappées belles, fleurant bon la liberté, des pentes escarpées, semant le doute sur les orientations à suivre, aux voies détournées, propices aux expériences inédites parfois fortuites, leur route a souvent croisé celle d’artistes aux univers bien différents du leur. De Mercedes Peon, Dulce Pontes, Carlos Nunez, Kepa Junkera, Eliseo Parra à Arno, Zefiro Torna, Philip Catherine, Renaud, Dick Van der Harst en passant par Yves Barbieux et Urban Trad ou Perry Rose, elles n’ont pas hésité à leur emboîter le pas… Mais si Ialma atteint avec « Camino » une maturité artistique patiemment forgée, ce projet est aussi l’expression de tout un héritage musical, vécu non comme un repli identitaire sur une terre d’appartenance, la Galice, mais comme un métissage à une ville qui a vu naître les artistes, Bruxelles, riche de sa multiculturalité où les racines se mélangent, se partagent et parfois fusionnent. Enfin, « Camino » se fait le témoin, à travers le cri de femmes d’aujourd’hui, d’un contexte troublé où respect, tolérance et dialogue sont secoués de toutes parts par des individus se trompant de colère. Voix et percussions : Veronica CODESAL, Magali MENENDEZ, Natalia CODESAL , Marisol PALOMO | Guitare : Quentin DUJARDIN ou Maarten DECOMBEL | Accordéon diatonique Didier LALOY ou Jonathan DE NECK ou Pierre-Yves BERHIN Première partie | Groupe de chants d’ensemble de l’académie de musique de Bouillon | Chœur en portée
« J’aime beaucoup les étincelles, les courts-circuits, les gens qui glissent ou qui s’envolent, les sursauts…Ces petits moments délicieux prouvent que le monde n’est pas définitivement prévu. C’est l’ouverture des fenêtres du possible… Lutte contre l’enfermement morose de la mesure… C’est le monde à l’envers pour dire qu’à l’endroit il n’est pas terrible… » Voilà quelques considérations de Jean – Michel Ribes à propos de ce spectacle pour lequel il a été doublement récompensé en 2002: » Molière du meilleur spectacle comique » et » Molière du meilleur auteur comique » . Cette pièce jubilatoire, de toutes les audaces, qui se joue de nous et de tous nos repères, vous fera goûter à toutes ces situations cocasses, absurdes, rocambolesques, qui font dérailler le quotidien. Le Théâtre Royal des Forges qui vient de fêter ces 70 ans nous offre un de ces petits moments délicieux qui prouvent qu’il existe encore quelques endroits où la réalité ne nous referme pas ses portes sur la tête. Mise en scène de Fabrice SCHILLACI | Avec Jules Gouverneur, Richard Clément, Christine Flore, Stéphane Lesoin, Pascal Dabe, Magali Brouart, Pavlina Zdarilova, Albert Bouillon, Françoise Einsweiler | Lumières : Véronique Guébels | Son : Raymond Louppe | Maquillage : Françoise Connrot
Parcours d’artistes « Courtis’Art » 2018 : Appel à projet : Cette nouvelle année annonce déjà les projets du printemps et le retour du parcours d’artistes « Courtis’Art ». Il s’agira pour cette deuxième édition, de mettre en valeur le patrimoine rural et le village de Petit-fays et d’autre part, des artistes plasticiens dont le travail est clairement ancré dans une démarche contemporaine. Un parcours proposera aux visiteurs de découvrir des œuvres en 3 dimensions : sculptures, installations, œuvres de types photographiques..., installées chez l’habitant (granges, cours, jardins) + salle, hôtel … Idéalement, une grande partie des œuvres devront pouvoir résister à une exposition à l’extérieur. En pratique : courtis’Art aura lieu les 25-26-27 mai 2018 Artistes plasticiens : Date limite d’inscription : 1 avril 2018! Si vous êtes intéressés, veuillez nous envoyer votre lettre de candidature, un CV artistiques et quelques photos (hautes qualités) de votre travail. Au programme : Vendredi 19h30 : vernissage de l’exposition : balade en musique dans les jardins Samedi : 14h-18h : ouverture du Parcours, 15h-18h : Théâtre 20h : Bilnd test animé! paf 5 euros Dimanche : 11h : Apéro en musique avec DENIS K, jardins ouverts, Samedi et dimanche : de 14H à 18h00 : animations : jardins ouverts, balade, film, Petit marché.... concours de girouettes…. Pour de plus amples renseignements, n’hésitez pas à prendre contact avec le Centre Culturel au 061/ 51.16.14 Centre Culturel de Bièvre, rue de Bouillon, 39a, à 5555 – Bièvre Centre.culturel@bievre.be Site internet : centreculturel-bievre.com